[L'invasion]c'est parti!

[Linhaendel]

Linhaendel souhaite un bon voyage à Metos, bien qu'elle soit triste, Linhaendel, ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire à l'évocation du lait fraise !
"revenez nous vite brave et noble Metos, nous vous aiderons pour l'auberge "

Linhaendel se lève très lentement, Severina l'imite, mais encore plus lentement !
"tu viens Severina nous allons chercher une petite auberge sympathique avec une bonne chambre, un bon bain chaud et un bon plat de lasagnes."
Linhaendel sert de plus en plus fort la main de son amie, à moins que cela ne soit le contraire, que cela soit Severina la plus forte ! la réciprocité est souvent vraie aussi, surtout chez les femmes !

En avançant vers la porte et ses hommes en armes, Linhaendel se demande si l'idée de manger des lasagnes lui avait été soufflée par Severina. sinon qui d'autre alors ?

"bonjour messieurs ! nous recherchons une petite auberge !"
une petite voix se met à crier dans sa tête "demande pour les lasagnes !"

Linhaendel remercie les gardes pour leur réponse, avec plus ou moins d'humour en fonction des informations données !
Severina et son amie prennent le chemin indiqué par les sentinelles.
en passant le seuil de la porte gardée, Linhaendel se retourne espérant voir revenir Metos du petit bois.

[Erwinel]

Tant que les affaires marchent, pour un commerçant, tout est bon. Mais je ne peux pas laisser ces gens dans la peur, je dois intervenir.

Je prends le plus de renseignements possibles auprès de l'aubergiste en continuant la conversation. Je le flatte sur la tenue de son auberge et la qualité du repas pour le mettre en confiance, tout en glissant dans la conversation quelques questions qui pourront m'être utiles (diplomatie) :

- Depuis combien de temps avez-vous des problèmes avec les elfes dans les bois?
- Quel évènement a créé cette hostilité envers vos chasseurs?
- Certains chasseurs ayant eu affaire aux elfes sont-ils revenus? Où puis-je les trouver?
- Ce Carl et sa bande, sont-ils nombreux? Vous en connaissez certains?
- Où puis-je trouver Carl si j'estime devoir le rencontrer?
- Vous connaissez un victime de la bande de Carl qui pourrait me renseigner sur le groupe?

Si l'aubergiste finit par se lasser de mes questions ou dès que j'ai fini mon repas et petit interrogatoire, je me lève en le remerciant pour le repas (sans oublier de le payer bien sûr) :
- Vous savez où je peux trouver le poste de garde ou un responsable?
...
...
...
Ah oui, je reviendrais sûrement un peu plus tard... vous êtes ouverts jusqu'à quelle heure?

Selon les informations que j'ai pu recueillir grâce au tavernier, je tente d'aller parler aux différentes personnes qu'il a pu m'indiquer (dans l'auberge ou en dehors - diplomatie), tentant de savoir où trouver Carl, ou en apprendre plus sur les raisons des agressions des elfes.
Si je sors de l'auberge, j'essaie tant que possible de capter les conversations alentours en posant aux personnes rencontrées le même genre de questions qu'à l'aubergiste (renseignements), et tentant surtout de repérer des personnes qui en auraient suffisamment après Carl pour m'accompagner et faire une descente dans sa cachette.

[Evhan nominess]

Evhan avait voyagé beaucoup ces derniers temps pour voler de ses propres ailes et ainsi aider les gens autour de lui. Ses pieds le porta jusqu'au village de Alta, ce il avait entendu durent son voyage que de nombreux village comme celui de Melkyra avait souffer.

Le jeune nominess fit son devoir et ce dirigea temple pour prier en mêmoire de ceux victime de ce mal, qu'était t'il arrivée ici? Le paladin alla voir le prêtre présent dans le temple pour le lui demender.
-Pardonner moi mon père,j'ai l'impression qu'il y a d'étrange chose qui ce passe ici?

Après avoir eux la réponce du prêtre le demi-elfe ce dirigea par la suite jusqu'a l'auberge du village pour aller manger un repas des plus commun. En même temps qu'il mangeait Evhan en profita pour écouté ce qui ce passait autour de lui. ( Perception auditive )

[mavina (crysania)]

J'accepte de vendre à ce prix modique, de toutes façons ça ne m'avait rien couté. Peut-être y-a-t-il un tanneur, ou un couturier dans cette ville... Je vais lui demander..

Y-a-t-il un couturier ou un tailleur ou quoi que ce soit qui s'en rapproche dans cette ville ?

Y-a-t-il une auberge ?

Peut-être à cette auberge, pourrais-je rencontrer des personnes telles que moi... Faire des affaires.

Si il y a un tailleur / couturier / tanneur / quoi que ce soit, je demande où, et je m'y rends en premier. De même pour la taverne, à laquelle je me rendrai en second.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Bien que triste de quitter l’homme qui les avait aidées et toujours en entrainant son amie avec elle, Linhaendel se ressaisit et se dirige vers les gardes pour leur demander l’emplacement d’une petite auberge. Toujours avec la même attitude mêlant respect et gaucherie les gardes se concertent avant de lui répondre :
- On a qu’une auberge dans not’ village, jsais pas si c’est cque vous appelez « petite » mais c’est assez grand pour nous… J’espère que ca vous satisferait ma dame.
Puis il lui indique le même chemin qu’à tous les autres.

Levé un peu avant l’arrivée des aventuriers, Evhan Nominess se dirige immédiatement vers le temple de Tyr pour une courte prière, il rejoint le prêtre en train d’officier et lui demande :
- Pardonner moi mon père, j’ai l'impression qu'il y a d'étrange chose qui ce passe ici?
- Vous savez mon fils, la nature humaine est par essence étrange… Les temps sont durs et le village n’est plus aussi sur qu’il l’a été… Je ne sors que très peu de mon temple, mais des femmes sont venues pleurer leur mari mort ou leurs biens volés…
Il observe quelques instants le jeune paladin avant d’ajouter
- Vous m’avez l’air d’être un homme bon, vous devriez vous renseigner en ville si vous voulez aider…
Après avoir salué le prêtre il repart vers l’auberge et commande un repas basique, composé d’un verre de lait, un pichet de bière, un morceau de pain et une espèce de bouilli de céréales peu ragoutante. Il mange lentement son repas en écoutant ce qui se dit autour de lui, malheureusement le soleil est encore bas dans le ciel et les clients ne sont pas très loquaces, il entend des gens parler de la récolte de cette saison, et des nouvelles d’enfants malades. Il entend aussi quelques marchands qui doivent repartir dans la journée, mais rien ne capte particulièrement son attention. Une petite heure après, il voit entrer dans la taverne une jeune demi-elfe les cheveux sales, portant une armure d’écaille plein de terre et portant encore des traces de sang, le teint pale et visiblement fatiguée, elle s’assoit au comptoir, commande un repas et discute avec le tavernier. Le jeune paladin peut entendre toute la conversation …

Erwinel continue sa conversation avec le tavernier, elle le flatte un peu et essaye de le mettre en confiance en lui posant des questions… Celui-ci éclate de rire :
- La flatterie c’est pas trop mon truc ma jolie, mais vous inquiéter pas, c’est pas tous les jours que j’ai une compagnie aussi charmante dans mon auberge, discuter avec vous m’dérange pas…
Il lui lance un clin d’œil aussi discret que son gros nez avant de répondre à ses questions :
- Pour les elfes ça date d’une dizaine de jours, peut être deux semaines et c’est depuis ce temps là qu l’Carl a compris qui pouvait emmerder le monde, avant il se tenait tranquille et dépouillait les voyageurs seulement… Non ya aucun chasseurs qui sont revenus, les elfes les attaquent sans raison et sont impitoyables, on les retrouve parfois à l’entré du bois vers le nord avec des flèches partout… Pauvres hommes… Vous pouvez tenter de voir leur famille mais jpense pas que les femmes vous parleront… Et j’sais pas ou qu’elles habitent
Il adresse une prière muette à son Dieu avant de poursuivre :
- Pour Carl ya beaucoup moins d’mystères, tout le monde sait ou il vit et presque tout le monde a déjà été emmerdé… Il a une petite cabane sur la colline à l’est, à peu près une heure de marche du village… Jme demande pourquoi les elfes l’ont pas encore tué lui… Il y vit avec ses cousins dégénérés et ses frères… Ils sont ptêtre 5 ou 6…
Pour la dernière question, l’aubergiste parait surpris :
- Le poste de garde est juste à l’entré, vous l’avez pas vu en vnant ? Y doit pas y avoir grand monde mais vous trouverez ptêtre ce que vous cherchez…
Elle le remercie chaleureusement, paye son repas et se lève pour partir, elle s’interrompt :
- Ah oui, je reviendrais sûrement un peu plus tard... vous êtes ouverts jusqu'à quelle heure?
- Ya pas d’heures ma jolie, on est ouvert toute la nuit !
Erwinel sort ensuite de l’auberge et écoute les conversations aux alentours, cependant personne ne semble parler des problèmes du village, comme si le simple fait d’en parler allait faire apparaitre un groupe de bandits ou une horde d’elfes assoiffés de sang. Elle tente de se renseigner auprès des gens dehors, mais tous se referment à l’évocation des elfes ou de Carl, lui disant qu’ils ne savent pas de quoi elle parle, qu’il ne faut pas insister ni en parler…

Crysania accepte à contrecœur de vendre son butin pour 20 po et demande à l’intendant s’il y a un couturier, un tanneur ou une auberge dans la ville. Sa réponse est aussi agréable que le personnage :
- Je ne suis pas là pour renseigner les touristes… J’ai du boulot, si nous n’avons plus à faire ensemble…
Et il lui montre la porte qui mène vers le rez-de-chaussée. En descendant elle pose les même questions au garde devant la caserne, qui ne semble pas savoir ce qu’est un couturier ni un tanneur mais qui lui affirme que la meilleure taverne du royaume se trouve dans cette direction :
- Vous prenez cette rue, puis à gauche, puis tout droit sur 200 mètres puis à droite, encore à droite et une dernière fois à droite.
Après quelques minutes de marche dans la direction indiquée, crysania croise le chemin de la paladine demi-elfe qui était avec elle dans les souterrains et la taverne juste derrière elle

[Evhan nominess]

Le demi-elfe était quand même heureux de commencer à comprendre ce qui se passait par ici, cependant les dires du prêtre de tyr et celle de l'aubergiste ne l'enchantait guère. Des elfes qui attaquaient les chasseurs et un brigand, à ce que qu'Evhan pouvait en conclu, tourmentaient les lieux.

Le paladin termina son repas et retourna son assiette et sa choppe au comptoir pour les redonner au tavernier. Le repas n'était pas si pire malgré son apparence, il avait connu pire des cuisiniers du temple d'Heaume d'où il provenait.

-Merci pour votre hospitalité je reviendrai plus tard et je vais payer pour ma chambre tout de suite combien je vous dois ?

Après avoir payer son du, Evhan sorti pour essayer de rejoindre la dame qui discutait avec le tavernier quelque minute plutôt. S’il réussissait à la rejoindre à l'extérieur il s'approcha d'elle.
-Vous aussi essayer de comprendre ce qui ce passe par ici ? Je voudrai vous aider si vous me le permettez.

Le paladin était très direct, il se disait que cette personne pourrait sûrement en savoir un peu plus qu'il y parait.

[Linhaendel]

Linhaendel remercie le garde et entame une petite chanson
« Quand on arrive en ville
Tout l'monde change de trottoir
On a pas l'air virils
Mais on fait peur à voir… »

Linhaendel regarde son amie, cette chanson avait beaucoup plu à Severina lors de leur première rencontre ! mais là rien, Severina semblait toujours absente.

Linhaendel continue sans vraiment savoir pourquoi
« Des gars qui se maquillent
Ça fait rire les passants
Mais quand ils voient du sang
Sur nos lames de rasoir
Ça fait comme un éclair dans le brouillard
Quand on arrive en ville... »

Severina et Linhaendel déambulent dans les ruelles, croisant des badauds moribonds et des gueuses à la cuisse légère, enfin lorsque Linhaendel a les yeux ouverts, il lui semble voir cela.
En arrivant devant l’unique Taverne de ce village, Linhaendel éprouve un peu de joie et une énorme fatigue.
Elle pense aussitôt à : un bon bain, un bon repas et un bon lit !
En entrant dans la taverne, elles se dirigent vers le tenancier
Une douche, le plat du jour et une paillasse !
Linhaendel, gardant un peu de force pour ponctuer sa requête d’un léger sourire, demande au tavernier :
« Bonsoir messire Tavernier, nous aimerions, mon amie et moi, profiter de l’hospitalité de vos chambre et faire honneur à votre cuisine ! »
Severina et Linhaendel laissent le maître des lieux répondre
« une chambre à deux lits avec le bain, c’est possible ? »
Severina semble vouloir prendre la parole !… l’assemblée pendue à ses lèvres due se contenter d’un bâillement de la belle.
« nous pouvons manger quelque chose de chaud ? oui ! heu maintenant ? »
Quelque soit la réponse, Linhaendel remercie le tavernier
« merci messire… » la force lui manque et le sourire reste figé

[mavina (crysania)]

Je me retrouve face à face avec cette demi elfe qui était dans les soutérains avec nous...

Je la regarde fixement d'un air hostile jusqu'à ce qu'elle libère le passage. Si elle ne le fait pas, je la pousse pour passer.

[Erwinel]

A peine sortie la taverne, je me retrouve accostée par un demi-elfe. C'est assez rare que je croise quelqu'un de ma race, je vais donc en profiter.

Alors que je m'apprête à répondre, je croise un visage familier : une humaine qui était avec nous dans les souterrains. Elle ne semble pas franchement heureuse de me croiser, je préfère donc m'en retourner vers le demi-elfe.

J'essaie effectivement de comprendre ce qui se passe ici. Apparemment, les chasseurs du village ont des problèmes avec des elfes dans la forêt. Et les villageois ont quant à eux des problèmes avec une bande de détrousseurs sous les ordres d'un certain Carl.

Mais je ne me suis pas présentée : je me nomme Erwinel et je suis Paladin au service d'Illmater. Vous dégagez une aura positive, seriez-vous également un serviteur des Dieux?

Le village elfe et la cabane de Carl se trouvent en dehors du village. Il serait imprudent je pense de nous y rendre à découvert. Nous devrions trouver des personnes prêtes à nous aider et à l'aise dans la forêt.
Je suis arrivée ici en même temps qu'un druide et un rôdeur. Je les ai pas vus entrer en ville et leur aide pourrait être utile, pourquoi ne pas tenter de les retrouver dans la forêt?

[Evhan nominess]

Le paladin était heureux de savoir qu'il y avait d'autre personne de métier dans ces lieux, même si ce n'était pas pour la même divinité le tout restait quand même plaisant à savoir. Il s'inclina respectueusement avant de ce présenté.

-Pour ma par je me nomme Evhan Nominess, je suis un paladin d'Heaum, il est certain que je veux savoir ce qui ce passe ici, si il y a quelque malfrat que se sois ils seront puni pour le mal qu'ils font.

Il réfléchi à l'idée de rencontré d'autre personne pour la suite des événements avant de redire quelque chose.

-Exellente idée, allons trouver ces personnes que vous connaissez, si il peuvent nous aider le tout ira pour le mieux en groupe.

Attendant maintenant la réactions de la dame, Evhan ce dit que bien des chose reste a venir.

[mavina (crysania)]

Cette batarde m'ignore...

Je me dirige vers la porte, si la demi-elfe est sur mon passage, je la bouscule violemment d'un grand coup d'épaule et me tiens prêt si elle décide de riposter. Sinon, je rentre dans la taverne.

[Erwinel]

Ce demi-elfe est bien un paladin également, et de croyances proches, l'entraide nous sera sans nul doute profitable.

Très bien, alors .... ouch

Alors que je réponds à Evhan, l'humaine poursuit son chemin en me poussant violemment de l'épaule. Elle, par contre, ne serait sûrement pas de bonne compagnie. Je préfère ne pas répondre à l'agression, elle n'en vaut pas la peine et j'ai d'autres affaires à régler que ses problèmes de personnalité.

... alors nous devrions les rechercher. Par contre, je tombe de fatigue et je n'ai pas pu me reposer depuis plus de 24 heures, je ne ferai rien de bon dans cet état. Si cela te convient, nous partirons à leur recherche dès l'aube.
Peut-être pouvons demander une chambre avec deux lits. Nous serions plus aptes à nous défendre si Carl voulait profiter de la nuit pour détrousser des voyageurs ...

Sur ces paroles, je retourne vers l'auberge, invitant Evhan à me suivre. Selon sa réaction concernant la chambre, je demande à l'aubergiste une chambre avec un ou deux lits et je monte dans la chambre où je me couche après une prière à Illmater. Je laisse les volets ouverts (mais la fenêtre fermée) pour être réveillée par le lever du soleil./
Par précaution, je garde mon épée à portée de main pendant mon sommeil.

[Evhan nominess]

Le demi-elfe écouta ce que sa consoeur lui disait jusqu'au moment où une humain vint la bousculer avec force. Sur le coup il aurai réagi pour demander réparation mais voyant comment la paladine le prenait il ce dit que cette attention ne valait pas la peine. Il écouta ensuite la proposition avant de répondre.

-Je n'est aucun problème à partager la même chambre, nous serons ainsi dans un même lieu sans devoir ce donner un point de rendez-vous pour trouver les autres. Alors je vous suis.

Evhan suivie alors Erwinel pour aller prendre du repos aussi, il fit sa prière à Heaum avant de ce laisser guider dans le sommeil, son épée bâtarde de côté avec une main dessus au cas d'éventuelle problème.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Toujours amorphe et se laissant entrainer par Linhaendel, Severina marche le regard vide dans les rues du village. Même la chanson de son amie ne semble pas la faire réagir, il semblerait qu’elle ne parvienne pas à chasser de son esprit le carnage dont elle a été témoin… Après quelques minutes d’errance, elles arrivent enfin à la taverne du village et y pénètrent sous le regard surpris des badauds. Il faut dire que les deux femmes, avec leur vêtements (ou ce qu’il en restait pour Severina) sales et leurs airs fatiguées ne passaient pas inaperçues.
Le tavernier semble ravi de recevoir les deux belles et leur propose « sa meilleure chambre » avec une « belle baignoire en airain » et « le repas servi directement dans leur chambre » pour la modique somme de 20 po. Si la barde choisit d’accepter l’offre, une servante la guide jusqu’à l’étage dans une grande chambre simple mais propre, au milieu de laquelle trônent un lit confortable et une baignoire cachée par un simple panneau de bois. Quelques minutes après qu’elles se soient installées, la même servante vient frapper à leur porte pour leur apporter un copieux repas. Le plateau est composé d’un gros poulet entier rôti à la broche accompagné de légumes et de pommes de terre, ainsi que deux grosses chopes de bières. La servante prend congé en leur disant, les yeux baissés :
« Si vous avez besoin de quelque chose, tirez sur la corde près de la porte et j’arriverai »

A l’extérieur, après avoir payé les 2po de sa chambre, Evhan Nominess rejoint la paladine et lui offre son aide. Alors que leur discussion commence, crysania menace la demi-elfe du regard mais celle-ci choisit de l’ignorer. Probablement vexé par son attitude l’humaine la bouscule en se rendant dans l’auberge.
Les deux paladins se mettent d’accord pour partir chercher de l’aide avant d’aider le village à régler leurs problèmes. Mais avant tout la paladine a besoin de sommeil et lui propose de retourner se reposer. Malgré l’heure matinale, le demi-elfe accepte et ils s’en retournent à la taverne. Le tavernier les accueille avec un grand sourire, apparemment comblé d’avoir autant de nouveaux visiteurs. Lorsqu’Erwinel lui demande une chambre avec deux lits il leur répond :
-Votre ami ici présent a déjà payé une chambre… Il me reste encore des chambres avec deux lits, mais cela vous coutera 2 po supplémentaires…
Si les deux paladins acceptent, une servante les guide à leur nouvelle chambre. Après avoir pris quelques précautions élémentaires, la demi-elfe tombe littéralement de sommeil. De son côté Evhan Nominess peine à trouver le sommeil puisqu’il s’est lui-même levé récemment… Il parvient tout de même à somnoler

[Linhaendel]

Linhaendel remercie le tavernier et décide de suivre la servante sans plus attendre.
En arrivant au pied de l’escalier Linhaendel se retourne vers la salle et remarque Erwinel
« Bonsoir Erwinel, à demain pour de nouvelles aventures ! »
dit elle d’un ton amusé pour cacher une légère mélancolie.

Dans la chambre Severina déambule jusqu'à la baignoire pendant que Linhaendel se dirige vers la fenêtre, l’ouvre et lève la tête à la recherche de la Lune ! Elle est là ! Linhaendel sourit et se retourne vers Severina
« viens voir Severina, la Lu… »
Severina prenait son bain silencieusement en frottant avec acharnement chaque partie de son corps, comme si elle portait sur elle les traces du massacre.
On frappa à la porte et la jeune femme entra avec le repas. Elle le déposa sur la table et dit en se retirant
« Si vous avez besoin de quelque chose, tirez sur la corde près de la porte et j’arriverai »
« merci mademoiselle, c’est très gentil à vous ! auriez vous un grand manteau avec une capuche pour mon amie ? nous vous payerons ! »
Linhaendel lui donne 2 pièces d’or
« tenez, ceci est pour vous ! pour vous remerciez de votre gentillesse »
La jeune femme sort de la chambre, Linhaendel l’accompagne et regarde si la porte a un verrou (si oui elle le ferme !) (si non elle cale une chaise derrière la porte)
Linhaendel se retourne vers la baignoire
« Sev… »
Severina est installée à table, une cuisse de poulet dans la main droite et une autre… dans la main gauche !
« bonne appétit Severina ! le bain est encore chaud ? »
sans attendre une réponse Linhaendel plonge dans le bain, l’eau est encore tiède ! Lorsqu’elle en sort Severina est couchée dans le lit et un petit ronflement semblable à celui d’un léopard sort de dessous la couverture.
Linhaendel passe à table et même si le poulet est bien entamé il en reste suffisamment avec les pommes de terre pour calmer son estomac. Les deux chopes de bière restent pleines !

Linhaendel ferme les volets en regardant une dernière fois la Lune et en y accrochant deux ustensiles de cuisine (aux volets, pas à la Lune). L’obscurité lui donnant un avantage face à un éventuel pourceau d’être humain qui tenterait de pénétrer dans la chambre pendant la nuit ! Linhaendel laisse la fenêtre ouverte, pour respirer et parce que le silence après cette journée sanglante et éprouvante serait mortel ! Elle va à la porte pour y accrocher deux autres ustensiles de cuisine et place ses armes et celles de son amie sous le lit. Elle garde la dague sous son oreiller.

Linhaendel fait rapidement une petite lessive avec leur lingerie fine, très fine pour Severina !
Puis elle met tout cela à sécher et va se coucher ! Severina ne ronfle plus mais occupe presque tout le lit ! Linhaendel arrive à se faire une petite place et si rien ne vient troubler son sommeil, plonge dans les bras de… morphée !
"bonne nuit Severina"

[mavina (crysania)]

Je rentre dans l'auberge, exténuée.

Je demande à l'aubergiste sa chambre la moins chere, et la prends.

Puis je monte dans ma chambre et me couche.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Après que la servante lui ait montré sa chambre, Linhaendel lui dit :
- merci mademoiselle, c’est très gentil à vous ! auriez-vous un grand manteau avec une capuche pour mon amie ? nous vous payerons !
Linhaendel lui donne 2 pièces d’or
- tenez, ceci est pour vous ! pour vous remerciez de votre gentillesse
La jeune femme accepte en rougissant et lui répond :
- Bien sur ma dame, je vous rapporte ce que je peux de suite. Pas besoin de me payer, ces deux pièces suffisent largement.
Elle revient quelques minutes plus tard alors que Severina dort déjà, avec une grande cape d’un gris foncé, dont la capuche pourrait aisément cacher le visage de celui qui la porte. Elle frappe timidement à la porte en disant :
- Ma dame, je suis désolé je n’ai trouvé que cela, j’espère que cela sera suffisant pour vous.
Elle accepte, toujours les yeux baissés, tous les remerciements de l’elfe mais refuse d’être payé d’avantage et prend congé.

Le tavernier semble à l’apogée de son bonheur lorsque crysania arrive à l’auberge. Une petite déception se lit sur son visage lorsqu’il entend « votre chambre la moins chère » mais il se reprend vite et répond avec son sourire :
- Bien sur ma p’tite dame, si vous voulez bien suivre ma nièce qui vous mènera à vot’ chambre…
Il peste à demi mots en ne la trouvant pas dans la salle puis lui dit en la voyant revenir :
- Où c’est que t’étais toi encore ? Amène donc notre client dans une de nos chambres simples libres et assure-toi qu’elle ne manque de rien.
La jeune femme s’empresse d’obéir et accompagne crysania dans sa chambre. Celle-ci, bien que propre et correctement entretenue n’a pas grand-chose à voir avec celle de Linhaendel et de Severina. Un lit rudimentaire est accolé au mur du fond, ne laissant qu’un peu plus d’un mètre et demi d’espace pour se déplacer. Il y a aussi une armoire contenant des draps propres et une commode vide, sur laquelle est placée une bougie, à côté du lit.

Tous les aventuriers dans l’auberge ne tardent pas à sombrer au royaume des songes, leur sommeil est plus profond qu’ils ne l’auraient voulu, mais agité, probablement à cause des récents évènements. Seul Evhan Nominess ne dort que d’un œil, aussi il est le premier à entendre les bruits de vaisselle cassée venant d’en bas, 6 ou 7heures après qu’il se soit couché. Maintenant pleinement réveillé, il peut apercevoir le jour commençant à décliner par sa fenêtre et entendre distinctement le cri de femme qui vient de la salle principal. Le cri strident réveille tous les aventuriers, sauf Severina, qui semble prisonnière de ses cauchemars et qui se retourne sans cesse dans son lit

[Linhaendel]

Linhaendel est réveillée par un cri strident ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Elle bondit hors du lit la dague à la main ! Severina dort encore !
Linhaendel semble bien reposée, elle s’habille rapidement !
bien que le cri semblait provenir de l’intérieur elle va regarder par la fenêtre la rue de l’auberge et en profite pour avoir une estimation de l’heure de la journée, la Lune est toujours là, les humains découvriront sa beauté lorsque la pénombre sera plus prononcée ! Linhaendel se rend compte quelle a dormi toute la journée !
Linhaendel arme l’arbalète de son amie et la pose à coté de Severina.
« Severina, il se passe quelque chose dans l’auberge, habille toi, je vais aller voir et je reviens de suite ! tiens voila ton arbalète ! »
Linhaendel sans faire de bruit sort de la chambre l‘épée à la main droite et la dague dans l’autre !
Si Elle rencontre un autre pensionnaire sortant d’une chambre
« bonjour ! vous avez entendu, on aurait dit la voix d’une femme ! cela provenait peut être de la salle du bas ? »
Si elle rencontre un moribond belliqueux
« doucement p’tit gars ! » tout en essayant de le maintenir à distance ou de l’occire si celui-ci se veut agressif !

Si personne n’entrave sa progression Linhaendel s’approche de l’escalier en essayant de découvrir la cause de ces cris tout en gardant un œil sur la porte de sa chambre !

[Evhan nominess]

Après avoir payer le supplément pour sa nouvelle chambre double le paladin d'heaum eu beaucoup de difficulté à bien fermer l'oeil et dormi à moitié. Quand les rayons du soleil, mélanger au crie de la dame surgir il ce leva précipitamment.

Il tenait son arme bien en main et s'approcha de la porte avant de dire à bonne voix à sa consoeur endormie.
-Dame Erwinel! Réveilliez vous il y a quelque chose qui ce passe en bas.

Le demi-elfe n'était pas stupide sur un point, il ne fallait pas crier au côté de quelqu'un qui possède une arme dans ses mains.

Avant de sortir il en profita pour enfiler ses vêtements et remettre son armure, puis il ouvre lentement la porte pour sortir.

Après avoir rencontré une autre personne dans l'escalier il lui répondit simple.
-Je compte savoir ce qui se passe en bas....

Puis il s'approcha lentement de l'escalier en essayant de faire le moins de bruit possible.

[Erwinel]

Dans mon sommeil, je crois entendre une voix me prévenir de quelquechose. Puis vient un cri strident. Je me relève précipitamment pour voir Evhan enfiler son armure et sortir de la chambre, son épée à la main.

Il doit se passer quelquechose en bas. Allons voir.

Je saisis mon arme, me secoue le visage pour émerger de ma torpeur, enfile mon armure et suis mon compagnon dans le couloir. Je le vois échanger deux mots avec une barde connue et lui annoncer qu'il compte voir ce qui se passe en bas.
Je les rattrape en haut des escaliers en tentant de ne pas faire de bruit.

Je viens avec vous. Un tel cri n'est pas bon signe et je crois que quelqu'un a besoin d'assistance.

Je m'engage ensuite dans les escaliers, discrètement, afin de voir ce qui se passe, si possible sans être vue.

[Linhaendel]

Erwinel sort de sa chambre, sa présence déclenche un petit sourire et un petit cri de joie, à peine audible, chez Linhaendel
"yép!"
mais dans le silence cela lui amène des regards réprobateurs qui en disent long tout en restant silencieux, Linhaendel devient toute rouge de confusion ! elle aimerait parler, chanter, discourir,... mais il semblerait que cela ne soit pas le bon moment !
Linhaendel suit Erwinel dans l'escalier, en laissant Evhan nominess passer devant ! s'il le souhaite !

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Le cri strident réveille Linhaendel qui bondit de son lit, sa dague déjà prête à ouvrir des ventres. Elle s’habille rapidement et jette un œil à l’extérieur, découvrant par là même qu’elle avait dormi presque toute la journée. Elle tente de réveiller Severina sans succès et sort de sa chambre en douceur.
Dans une chambre voisine, Les deux paladins, eux aussi alertés par le cri s’habillent en hâte et sortent de leur chambre les armes à la main, ils croisent leur camarade barde est s’approchent ensemble de l’escalier, Evhan Nominess en tête. Déjà dans le couloir ils peuvent entendre des rires gras et la voix apeurée d’un homme, sans vraiment comprendre ce qui se dit. Ce n’est qu’en haut de l’escalier qu’ils entendent enfin clairement et peuvent voir la situation :
De dos, un grand homme chauve et musclé tient par le bras la servante qui avait apporté une cape à Linhaendel. Un autre homme, lui aussi de dos, se tient juste en face de l’aubergiste et le regarde avec un sourire sadique. Enfin un dernier larron est posé juste devant la porte de l’auberge, il joue avec une dague et regarde vaguement la scène avec des yeux profondément ennuyés. Tous les clients de l’auberge semblent avoir désertés et, hors aventuriers, il n’y a plus que 5 personnes dans l’auberge. Les trois hommes ne semblent pas avoir pris de bains depuis des jours mais portent des soieries et des fourrures, le chauve s’adresse à l’aubergiste en riant:
- Ferme la paysan ! Personne ne t’a demandé ton avis… D’ailleurs va m’apporter un bon pichet de bière pendant que je m’occupe de la p’tite.
En disant ses mots il attire à lui la servante qui pousse un nouveau cri strident. Le tavernier l’implore de laisser sa nièce tranquille en lui promettant toute sa réserve de bière et son or en échange mais il ne s’attire que les railleries des soudards. Le grand chauve reprend :
- Ben, montre à ce paysan ce qu’il en coute de s’en prendre à nous !
Sans se faire prier, l’homme au regard sadique sort son épée en ricanant et se met à casser tout ce qui est à porté, fendant les sacs de vivres et les tonneaux de bières tout en mettant des coups de pieds dans les tables proches. Il range ensuite son épée, sort sa dague et s’approche du tavernier sous le regard amusé du chauve…

[Evhan nominess]

Le paladin regardait la scène et sa main se crispa sur le pommeau de son arme, Comment des hommes pouvaient démontrer une telle lâcheté et s'attaquer à des innocents. Il jeta un regard à ses compagnons pour simplement dire à voix basse.

-Je dois intervenir! Je n'en supporterai pas plus longtemps.

Par la suite, il descendit l'escalier en tentant d'être le plus discret possible. Si c'était possible, il poussera un cri. ''Qu'heaume punisse vos actes!''

(HRP: Le cri n'est que pour le RP, il n'a pas d'effet)

Puis, il chargera celui qui veut s'en prendre à l'aubergiste.

S'il ne peut descendre discrètement, il ne fera que charger l'homme qui veut s'en prendre à l'aubergiste pour tout en disant son cri.

[Erwinel]

C'en est trop, je ne peux en supporter d'avantage... Ces mots résonnent dans ma tête au moment même où Evhan se penche vers nous pour nous avertir qu'il se foit d'intervenir.
Je n'ajoute pas un mot, le laissant deviner ma détermination au travers de mon regard.

Il descend alors les escaliers, tentant de rester discret. Je n'ai pas cette patience et crie par dessu son épaule :

Lâchez tout de suite cette petite !!

Alors qu'Evhan s'élance contre la brute qui s'approche de l'aubergiste, je bondis vers celui qui retient la servante et tente placer la pointe de mon épée au plus proche de sa gorge. S'il se défend, je tente de le désarmer, s'il utilise la servante comme bouclier, je me place en garde devant lui.

Quoi qu'il en soit, je lui ordonne de lâcher sa prise s'il ne veut pas subir un châtiment exemplaire.

[Linhaendel]

Linhaendel passe derrière les Paladins dans l'escalier !
Erwinel crie Lâchez tout de suite cette petite !!
Linhaendel découvre la scène et voudrait égorger ce pourceau !
elle remarque le troisième gueux près de la porte et fonce sur lui !
" Et toi aussi ne fait pas le malin mon mignon !"
dit-elle en le menaçant la rapière en avant, gardant la main gauche, dans son dos, armée de la dague !
Linhaendel se prépare à lancer un sort

[Kzardall I-Kâzend]

Le jour est à son crépuscule alors que j'arrive aux portes du modeste village. Mon récent voyage m'a appris que la plupart des villages protégés par une cloture de quelle nature que ce soit, à quelque chose à craindre de son environnement proche...
Je me souvient alors du mien qui était ouvert à tout les passages malgré la proximité de la frontière septentrionnale.
Alors que celui qui me fait face est entouré d'une palissade de rondins à peine discernable de part les arbres de la forêt qui la borde.
Arrivé à ses portes je croise alors les deux gardes qui la protège et ceux-ci me laissent quand même passer malgré le curieux regard qu'ils me lancent, mélange de méfiance et de stupéfaction.
Je trace alors ma route dans la rue principale du village et cherche vainement du regard mes compagnons d'armes quand, soudainenement, un cri strident alerte mon attention !
Mes yeux se portent alors aussitôt vers une auberge de petite facture. La porte est ouverte et un homme se tient nonchalament appuyé contre le chambranle.
Visiblement, il se passe quelque chose de pas normal dans cette auberge.
Je décide de m'approcher discrètement de celle-ci. [Mode Déplacement Silencieux ON]
Tout en jetant un coup d'oeil à droite ou à gauche au cas ou d'autres individus malveillants rôderaient autour.
- Si le type m'entends et m'attaque, je dégaine mon épée et joue à son jeu de l'acier contre l'acier.
- Si le type ne m'entends pas, une fois arrivé à 3 mètres de lui, je l'interpelle en criant: "Qu'est-ce qui se passe ici ?!!".
+ Si il s'enfuit, je lui cours après dans l'intention de le maitriser sans le tuer.
+ Si il m'attaque, je lui chante une berceuse, en espérant qu'il s'endorme avant qu'il ne vienne me trancher la carotide... Meuh non, je fais chanter l'acier, bien sur !! xD
- Si je suis alpagué par d'autres éventuels types à l'extérieur de l'auberge, je dégaine mon arme et tente de trancher dans le vif avant de fuir si leur nombre est trop grand.

[cannonball]

Un bon repas qui s'accompagne du repos dont j'avais besoin depuis tant de temps...
Je continue de traîner dans la forêt tout en interrogeant les animaux qui se pointent, puis quand il est l'heure de retourner devant le village, j'y vais. Si Celerndorf n'est pas encore arrivé, je l'attends, et je finis par entrer dans le village pour le chercher.
Si il est déja là, je lui demande si il a trouvé des gens pour nous aider.

[mavina (crysania)]

Un cri ... Mais elle a l'air de ne pas assez souffrir ... Du grabuge ... Je vais aller jeter un coup d'oeil

Je me lève, m'habille et descend en dirrection du grabuge. Lorsque j'y arrive, je lance une détection pour voire si les gens n'ont pas perdu quelque chose dans la bataille et les ramasser, puis j'examine ce qu'il se passe avant de prendre une décision.

(hrp : comprenez que je n'ai pas encore eu le temps de tout lire, j'ai une sciatique et j'ai du mal, donc je pense finir ce soir ou demain, toutes mes excuses)

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Choqué par la scène qui se déroule devant lui, Evhan Nominess serre si fort le pommeau de son arme que ses phalanges en deviennent blanches. Il prend cependant sur lui et tente de descendre discrètement les escaliers pour surprendre les bandits. Mais il n’a pas le temps de mettre son plan à éxécution qu’il est dépassé par une Erwinel furieuse qui crie :
- Lâchez tout de suite cette petite !!
Un air incroyablement surpris s’affiche sur le visage du malfrat, mais il réagit rapidement et lance la servante sur Erwinel. La paladine tente de la rattraper mais la force du lancé est telle qu’elle bascule en arrière et se retrouve assise par terre devant l’escalier, la servante sur les genoux.
Evhan Nominess qui n’avait pas abandonné ses plans, charge l’homme qui s’en prenait à l’aubergiste. Celui-ci, vif comme l’éclair, se retourne et dessine un arc avec son épée qui stoppe net le paladin. Le jeune homme s’arrête, incrédule, avant de s’effondrer, un geyser de sang jaillissant de sa gorge. Il convulse quelques minutes sans parvenir à faire sortir le moindre son de sa bouche avant de s’évanouir sous la douleur.
A peu près au même moment, Linhaendel fonce vers l’homme au regard ennuyé qui joue avec une dague, sa rapière en avant et en lui disant :
- Et toi aussi ne fait pas le malin mon mignon
Aussi vif que son compagnon, il lance sa dague au visage de l’elfe mais la manque de peu, déconcentré par un cri venant de l’extérieur :
- Qu’est ce qui se passe ici ?!
Le rôdeur qui vient de revenir en ville se tient désormais quelques mètres derrière le brigand, à l’extérieur de l’auberge…

A l’intérieur, crysania, elle aussi réveillé par le bruit, s’habille tranquillement et descend observer la scène. Elle parcourt la salle des yeux en essayant de trouver quelque chose de valeur mais à part le sang du paladin qui commence à se répandre sur le sol, elle ne trouve rien.

A l’extérieur de l’auberge, Thiazzi, désormais accompagné de son nouveau loup, revient de la forêt et se dirige vers les portes de la ville. Il attend quelques minutes son ami rodeur, mais ne le voyant pas arriver, il décide d’entrer dans le village. Une fois encore les gardes le regardent étrangement mais cette fois ils ne disent rien. Quand ils se rendent compte que le loup suit l’elfe noir et qu’il s’apprête à rentrer lui aussi dans la ville, l’un des gardes ce dirige vers lui et lui dit :
- Excusez nous m’sieur, jsais bien qu..
Il est interrompu par son collègue qui lui chuchote :
- Chut, laisse le… Il est avec le groupe du seigneur Tharn…
Avant d’ajouter, en s’adressant au druide et en poussant le premier garde :
- Bon séjour dans notre village seigneur !
Le druide pénètre donc dans le village et découvre les ruelles étroites et désertes que l’obscurité ambiante ne rend pas accueillantes. Il reste donc sur le qui-vive et marche un peu dans la ville en cherchant son ami Celerndorf mais ne croise pas âme qui vive.

[Kzardall I-Kâzend]

Avant que je ne pousse mon cri, il m'avait semblé reconnaitre une voix à l'intérieur de l'auberge...
Et alors que je vois celui que j'ai interpelé lancer quelque chose ressemblant à une dague vers quelqu'un dans l'auberge, je dégaine mon épée et charge ce vil faquin !!
Plus question d'immobiliser simplement, sinon de façon définitive, mon adversaire.

[mavina (crysania)]

EEncore un qui s'est fait tuer ... mouahah

J'utilise ma capacité de discretion pour m'approcher du paladin mort, et fouille son corps pour voire si je peux y trouver quelque chose d'intéressant, ensuite je continue de m'ammuser à regarder ces brigands et ces bouffons se battre après avoir trouvé un endroit d'où je peux observer tranquillement. Si je trouve un endroit tranquille, je mange un repas en admirant le spectacle. Sinon, je me défends en cas d'attaque ou je n'intervient pas si personne ne me pose de problème.

[Erwinel]

Evhan, non !!

Priant rapidement pour que mon compagnon tienne le coup quelques instants, je me relève, aidant la servante à faire de même.

Restez ici, ne bougez pas.

Je me redresse ensuite face aux brigands, mon épeé dans une main et mon bouclier fermement tenu dans l'autre. Je me rapproche du bandit que j'avais précédemment interpellé, sans hâte, prête à parer ou esquiver toute attaque venant de lui ou de l'homme du bar.

Une fois arrivée à sa hauteur, ou si l'un des deux s'approche de moi pour m'intercepter, je l'attaque sans sommation.

[cannonball]

Hum, il doit être à l'auberge...
Je dis au garde en entrant : "Bonjour, pourriez-vous m'indiquer l'auberge, je vous prie ?"
S'il m'indique une auberge, je m'y rends, sinon j'insiste.

Une fois arrivé à l'auberge, je vois le combat qui s'y déroule, mon compagnon, le demi-elfe mort (paix à son âme, me dis-je) ([HRP] : C'est bien un demi-elfe ? [/HRP]), quelques-uns de mes autres compagnons d'infortune, et cette foutue humaine, ne t'inquiète pas, je ne t'oublie pas, Grendel ne t'oublie pas, la forêt ne t'oublie pas, JE TE TUERAI, HUMAINE ! Mais pour le moment, mieux vaut s'occuper du combat. Celerndorf fonce dans le tas. Hum, je vais éviter de le faire, cette fois-ci, et mon cher loup est bien trop cher à mes yeux pour que je l'envoie mourir.
Je vais donc me contenter de lancer Stimulant sur Celerndorf, et je reste sur mes gardes, mon loup et moi sommes prêts à nous défendre en cas d'attaque.

[Sid]

Linhaendel évite de justesse la dague lancée par le bélître
« Merci Jivago »

Linhaendel, d’un mouvement rapide du poignée qui fait décrire un arc de cercle à la pointe de son épée, tente de frapper à la taille le flanc gauche du gueux !
S’il esquive en partant sur sa droite, Linhaendel tente, de sa main gauche armée d’une dague, de le toucher à l’estoc et au passage !

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Le flot de sang sortant de la gorge du demi-elfe semble se calmer, personne ne sait s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise nouvelle mais des sons déformés de douleurs parviennent à sortir de sa gorge.

Alors qu’elle se relève doucement en aidant la servante, Erwinel, incrédule, voit crysania se déplacer vers le corps inconscient du paladin, et se pencher sur lui pour le fouiller. Son action est interrompue par le bandit qui d’un autre geste rapide et précis attaque l’humaine de la pointe de son épée. Ni l’agilité de la moine, ni sa légère tunique ne peuvent arrêter la lame, qui lui traverse la poitrine. Le bandit retire son épée avec un sourire radieux (et toujours aussi sadique) et se remet en position de combat. Ivre de colère, crysania se relève en lançant son coup de pied le plus dévastateur. Le bandit le reçoit en pleine face et recule de quelques pas, manquant de s’évanouir.
Juste à côté de cette scène, Erwinel avance doucement vers le grand chauve, celui-ci ricane d’avoir à faire à un adversaire aussi frêle et dégaine une impressionnante masse d’arme. Il attaque de toutes ses forces la paladine mais son attaque est ample et la paladine a largement le temps d’esquiver. Presque instantanément, le bandit réitère, cette fois la boule pleine de pique vient s’écraser sur le bouclier inébranlable de la demi-elfe. Elle profite de son avantage pour contre attaquer, mais sa lame ne trouve pas la chair du bandit et celui-ci est déjà en position d’attaque à nouveau.
A peine a-t-il vu le bandit jeter une dague sur une autre personne à l’entrée de la taverne que Celerndorf lui fond dessus en brandissant son épée longue. Il l’abat sur le bandit qui n’a pas le temps de le voir venir, la lame lui tranche le dos sur une vingtaine de centimètres, lui arrachant un cri de douleur.
Linhaendel profite de l’occasion pour elle aussi attaquer le bandit, attaquant de taille le flanc gauche du gueux, la lame lui entaille le buste ajoutant à ses blessures. Lorsque Thiazzi arrive lui aussi, accompagné de son loup, et jette un sort sur son camarade, le courage du malfrat semble s’évanouir et, après avoir lancé un « barrons nous les gars ! » Il bouscule Celerndorf qui, pris de surprise, ne peut rien faire, sort en trombe de l’auberge sans attendre ses « amis », et se met à courir dans les rues du village. Sentant la situation hors de contrôle, l’homme sadique près du bar décide de l’imiter, il court sans demander son reste vers la porte. L’adversaire d’Erwinel affiche un rictus de rage :
- Raah ! Tu as de la chance ma mignonne, mais je suis sur qu’on se reverra ! Personne ne s’attaque au groupe de Carl et vit pour le raconter.
Sur ce, il met un énorme coup de pieds dans la table à sa droite, qui vole dans la direction de la paladine, attrape une chaise et la jette dans la fenêtre de l’auberge, la faisant voler en éclat. Puis il court à son tour dans cette direction pour tenter sauter par là et de s’enfuir.

[Kzardall I-Kâzend]

- Reviens, maudit lâche !! éructe-je, d'une voix pleine de colère, au fuyard qui vient de me bousculer.
Je me retourne alors et vois un autre de ses comparses courir droit vers moi dans l'intention, me semble t'il, de s'échapper aussi.
Hors de question de le laisser filer, lui.

- Si le battant de la porte est du coté de la rue, et si j'en ai le temps, je le referme brutalement sur l'individu en question, dans l'espoir de l'assomer avec.
+ Si la porte s'ouvre à la volée je m'esquive de coté et met mon épée dans les jambes de mon adversaire dans l'espoir de le faire chuter (si il est blessé, ce sera un plus...) et de l'immobiliser aux poings par la suite.
+ Si la porte ne se rouvre pas, c'est moi qui le fait. Et si mon adversaire est toujours debout je m'arrange pour qu'un bon coup d'épée dans les jambes s'occupe de le faire tomber.

- Sinon, renforcé par le sort de Thiazzy, je l'attends de pied ferme, l'épée à la main, et l'attaquerai d'estoc au genoux droit dans l'espoir de l'immobiliser et de lui soutirer quelques informations dans un futur très proche...

-Si il est stoppé avant, à l'intérieur de l'auberge, je cours prêter main forte en criant : "ne le tuez pas, si vous pouvez, il pourra peut-être nous être utile !!"

*Dans le cas où je/on réussirai à immmobiliser le malfrat, j'utiliserai ma corde afin de le saucissoner bien comme il faut*

[cannonball]

Je vois Celerndorf qui tente de bloquer le voleur.
Si le voleur tombe, ou n'est plus en position de se défendre, j'envoie mon loup pour mordre la jambe du voleur.
Si l'ennemi est en position de combat ou que l'autre brigand en fuite intervient pour s'en prendre à Celerndorf, je lance Résistance sur lui, et mon loup et moi nous mettons hors de portée des attaques.

Si tous les voleurs arrivent à s'enfuir :
Je vois les bandits sortir de l'auberge, c'est moi qui les ai fait fuir ?
Je regarde autour de moi, et je vois les dégâts du combat. Pauvre demi-elfe! Je me dirige vers Celerndorf et je lui dis "Tout va bien ?" .

[Erwinel]

Mon adversaire tente de s'enfuir. J'attrappe le plus rapidement possible un objet à ma portée et lui lance dans les jambes pour tenter de freiner sa fuite.

Si je parviens à le faire tomber, je me jette à sa poursuite et bloque son arme avant de le mettre en joue :
Ne bouge pas, mon mignon, on a des choses à se raconter tous les deux.

Si je ne parviens qu'à le ralentir, je réitère l'action avec un objet plus volumineux selon ce qui se trouve à ma portée (une chaise par exemple), espérant le faire tomber.

Si je ne parviens pas à le ralentir, ou s'il tombe tellement mal qu'il s'assomme, je me rends alors tout de suite auprès d'Evhan et utilise mon Imposition des Mains pour tenter de guérir sa blessure.

[Linhaendel]

Linhaendel voit son lanceur de dague fuir ! une table et une chaise volent dans son dos ! un homme beugle "Raah ! Tu as de la chance ma mignonne, mais je suis sur qu’on se reverra ! Personne ne s’attaque au groupe de Carl et vit pour le raconter"
Linhaendel se retourne, elle se trouve entre les gueux et la porte !
(si un bandit fonce sur la porte )
Linhaendel lance le sort "Illumination" au visage bestial du gueux ! Elle plonge sur le coté gauche du fuyard en essayant de le frapper, dans un mouvement tournoyant et élégant pour celles et ceux qui pourraient assister au spectacle, avec sa rapière à la gorge !
(si les bandits foncent sur la fenêtre béante )
Linhaendel pousse une table( en essayant de la projeter !) devant les jambes du fuyard le plus proche pour le faire chuter !
(si le gueux s'écroule)
Linhaendel lui fonce dessus pour le frapper sauvagement mais sans haine !
(si le gueux bouscule la table et saute par la fenêtre)
Linhaendel va rejoindre la pauvre servante !

[mavina (crysania)]

Ce bandit m'a blessé ... J'entre dans une furie incontrollable, et après mon premier coup de pied (hrp:qui visiblement l'a sonné et donc j'ai le temps de faire quelque chose avant qu'il n'essaie de s'échapper) je continue de l'attaquer, activant le déluge de coup.

Si j'arrive à tuer le bandit, je le fouille et prends tout ce qu'il a sur lui (à part ses vétements). Je m'assois ensuite à une table, essaie d'arranger un peu ma blessure et mange un repas.

Si je n'arrive pas à tuer le bandit et qu'il s'enfuit, je m'assois à une table, essaie d'arranger un peu ma blessure et mange un repas.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Avant que le bandit n’ait le temps de s’enfuir, crysania lui porte un nouveau coup dans les côtes. Malgré une grimace de celui-ci, il n’arrête pas sa course et fond vers la porte. Linhaendel s’interpose en lançant le sort illumination en pleine face du brigand et plonge sur son flanc tout en lançant sa rapière sur le côté, la lame traverse les jambes du bandit qui fait un vol plané, sans son pied, avant de s’écraser au sol un mètre plus loin. Celerndorf, sur lequel son ami elfe noir lance un sort de résistance, profite de l’occasion pour foncer sur le malfrat en criant :
- ne le tuez pas, si vous pouvez, il pourra peut-être nous être utile !!
Il sort ensuite sa corde et va ligoter le malotru qui hurle de douleur. Il est rejoint par Thiazzi qui lui dit :
- Tout va bien ?

Au centre de la pièce, Erwinel évite la table lancée par le grand chauve, et tente à son tour de lui lancer un objet. Elle attrape la chaise la plus proche, ajuste soigneusement son tir et, dans un mouvement ample le lance sur le bandit. Malheureusement, la chaise lui échappe des mains et lui tombe sur le crâne, laissant largement le temps à son adversaire de sauter par la fenêtre et de courir dans la rue.
Légèrement sonnée, elle se dirige cependant vers Evhan et s’agenouille à côté de lui. Elle pose doucement ses mains autour de son coup et, et de la même façon qu’Elric avant elle, ses mains se nimbent d’une aura bleutée. Assez rapidement, la trachée du malheureux se ressoude laissant tout de même une profonde coupure au niveau de la gorge! Dans un sursaut, le paladin relève rapidement son torse en inspirant à plein poumons, mais l’air brulant le fait tousser violemment, laissant couler un fin filet de sang le long de son cou.

Le tavernier, qui jusque là s’était réfugié derrière son comptoir, se précipite vers la servante et la serre dans ses bras en pleurant :
- Dieux Merci tu n’as rien ! Dieux merci…
Il se tourne ensuite vers les aventuriers pour les remercier, toujours en pleurnichant, et leur dit qu’ils peuvent rester dans son auberge autant qu’ils le souhaitent…

Juste à côté, visiblement insensible à la scène, crysania s’éloigne de quelques mètres, s’assoit à une table et tente d’arranger un peu sa blessure, elle ne parvient qu’à stopper l’hémorragie mais souffre toujours autant. Elle se met alors tranquillement à manger son repas

Pour avoir réussi à sauver l’aubergiste et sa nièce et pour avoir capturé un des bandits, le groupe gagne 300xp

[Kzardall I-Kâzend]

J'ai à peine terminé de ligoter le malendrin que j'entends l'elfe noir qui me demande si tout va bien.
Je salue d'un signe de tête l'elfe à la rapîère, pour le remercier de son aide, et répond à Tiazzy :
"Ca va, merci. Mais ça va certainement aller moins bien pour celui-là..." Lui dis-je tout en me relevant et lançant un oeil noir à celui que je viens de saucissoner.

Je me repenche alors vers lui et, empoignant ses cheveux avec force, lui demande d'un ton menaçant :
"T'es venu faire quoi ici avec tes potes ? Et qui c'est ce Carl ??!"

*Pendant ce temps, main gauche fouille le gredin à la recherche d'une arme éventuelle (que je garderai en cas de trouvaille).*

- Si il refuse de me répondre ou me manque de respect d'une façon ou d'une autre, je lui met un aller-retour bien senti dans la tronche et repose ma question avec plus d'insistance en tirant plus sur sa tignasse.

+Si il finit par me répondre, je lui demande à la suite : "Ok, chef ! Il se trouve où maintenant, et vous êtes combien dans votre groupe ?
++Si il ne répond pas encore à cette suite de questions ou me prend encore la tête, je le corrige de nouveau jusqu'à ce qu'il réponde.

*A la fin de cet interrogatoire (fructueux ou non), je me retournerai vers l'aubergiste, sans lacher mon lascar, et lui demanderai si il y a dans son auberge un petit placard ou un assez grand coffre afin de fourrer le gredin dedans en attendant la suite des évènements.*
*Dans le cas contraire, je le ligoterai solidemant à une chaise et le baillonerai à l'aide d'un chiffon que j'aurai demandé à l'aubergiste.

[Linhaendel]

Un homme, au visage familier, crie et fonce à grands pas vers le pourceau à terre
- ne le tuez pas, si vous pouvez, il pourra peut-être nous être utile !!
Il sort ensuite sa corde et va ligoter le malotru qui hurle de douleur.
Linhaendel donne un petit coup de pied au brigand unijambiste
"je ne voulais pas le tuer ! sinon j'aurai frappé ce porc à la gorge ! c'est comme cela qu'on les saigne, non ?"
tournant le dos au ligotage, Linhaendel se dirige vers la nièce de l'aubergiste, qui semble heureuse dans les bras de son oncle !
Linhaendel décide alors de retrouver son amie Severina et s'approche de l'escalier !
(si une personne lui adresse la parole ou lui demande de l'aide, Linhaendel lui répond et rend service d'un air absent )
(sinon) linhaendel passe à coté de la Paladine, regarde le blessé et d'un ton monocorde
" c'est super ce que vous faîtes, une chance pour lui que vous soyez avec nous Erwinel ! c'est chouette ce que vous avez fait , tous les deux, pour sauver la pauvre servante ! très chouette !"
Linhaendel (si elle n'est pas interrompue dans son ascension ) monte les marches lentement, une par une, en essayant de rengainer sa rapière, ces deux actions lui semblent anormalement difficiles !
Linhaendel arrive devant la porte de sa chambre, l'ouvre et...

[cannonball]

Je caresse mon loup, puis je vois le corps du demi-elfe étendu par terre.
Je dis à Celerndorf "Eh bien, je doute que tu aies besoin de moi pour interroger ce brigand, bonne chance à toi" *sourire*
Puis je vais vers le demi-elfe, et je lui dis "Vous allez bien ?"

Si il répond que oui et ne pose pas de question ensuite, je lui dis "Tant mieux ! Mais au fait, je ne me suis pas encore présenté ! Je m'appelle Thiazzi, et voici mon loup, Behemoth. *sourire*

[mavina (crysania)]

Une fois mon repas fini, je me leve, range tout et m'approche du bandit ligoté.

Un guerrier est déjà en train de "l'intérroger"... Tirer les cheveux, c'est pour les femelles non ?

Je m'approche du guerrier :

Hé, il ne parlera jamais en lui tirant les cheveux ou en lui mettant des baffes (je ne dis ca que si "l'aller retour" a été prodigué, sinon je m'en tiens au tirage de cheveux). Pour les faire parler, il faut les faire souffrir.

Je m'accroupis devant le bandit, au niveau des jambes, et esquissant un sourir pervers, j'enfonce mon doigt dans la plaie béante qu'a laissé la perte du pied du bandit tout en lui disant, d'une voix calme :

Tu vas répondre au monsieur, n'est-ce pas ? Si tu ne réponds pas, tu risques de le regretter ...

Je me complais à le regarder souffrir tant qu'il ne parle pas, tout en agitant le doigt à l'intérieur de sa plaie pour qu'il souffre le plus possible.
*P L A I S I R*

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

ClernrodA peine Celerndorf a-t-il répondu à son compagnon elfe noir qu’il empoigne le bandit par les cheveux et lui dit, tout en le fouillant :
- T'es venu faire quoi ici avec tes potes ? Et qui c'est ce Carl ??!
Il ne trouve rien d’autre qu’une petite dague fourrée dans sa ceinture et l’épée qu’il tenait dans la main, désormais par terre, à quelques centimètres de son corps, qu’il ramasse.
Le bandit l’ignore, occupé à sangloter et gémir, visiblement plus préoccupé par sa blessure qui saigne abondamment. Le rôdeur s’énerve un peu et lui met un aller retour dans la tronche avant de reposer sa question avec plus d’insistance. Toujours en sanglotant le bandit lui répond :
- Vous…Vous ne savez pas à qui vous avez à faire…Vous êtes morts…
Crysania regarde la scène en terminant son repas. Elle range son paquet et s’approche doucement du rôdeur et lui dit :
- Hé, il ne parlera jamais en lui tirant les cheveux ou en lui mettant des baffes. Pour les faire parler, il faut les faire souffrir.
Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit au niveau des jambes du bandit et enfonce son doigt dans son moignon de jambe tout en lui disant :
- Tu vas répondre au monsieur, n'est-ce pas ? Si tu ne réponds pas, tu risques de le regretter...
Le bandit hurle de douleur, tente de se débattre violemment et lâche, dans un souffle :
- Arrêtez ! Je vais mourir ! Nous étions juste venus nous amuser un peu ! Carl est notre chef, mais il vous tuera tous… Quittez la ville et je vous jure qu’on ne qu’il ne vous fera rien !
Celerndorf reprend :
- Ok, chef ! Il se trouve où maintenant, et vous êtes combien dans votre groupe ?
Le bandit lance un regard terrifié à l’humaine avant de poursuivre, sanglotant à nouveau :
- Nous vivons tous dans une grande cabane, sur la colline à l’ouest du village, nous sommes une dizaine… Pitié aidez moi ! Je vais mourir ! Je gagnerais du temps pour que vous puissiez quitter la ville sans que Carl ne vous pourchasse…

[Evhan nominess]

Le retour à la concience du paladin ne se fit pas sans douleur. Il se tenait la gorge à l'endroit où l'entaille

était. Puis il se souvint alors pourquoi il était dans cette état. Sa chance avait tourné, mais au moins, il n'en était pas mort. Le coup de coûteau du brigand l'avait sérieusement attient, mais les soin de Erwinel l'avaient remis sur pied.

Il réussit à pousser un petit mot en tentant de bien se relever.
-mmmerrr...ci....

Laissant sa douleur reposée un peu, Evhan attendit de voir ce que les autres tiraient comme information au

brigand capturé. Après avoir entendu les supplications du malfrat, le jeune paladin s'exclama péniblement en se

tenant le cou.

-Vous implorez notre pitié après vous avoir ''amusé''...vous me faites vraiment rire....

Il toussa péniblement avant de reprendre.
-Votre organisation mérite d'être démantelée pour le bien de cette populace....

Arrêtant de parler, Evhan devait se reposer un peu.

[Kzardall I-Kâzend]

Derrière moi, j'entends une voix éraillée dire :
"-Vous implorez notre pitié après vous avoir ''amusé''...vous me faites vraiment rire...."
Je me retourne alors, tenant toujours la tignasse du brigand, et vois un jeune homme qui n'a pas l'air du coin tant son l'allure élégante crache avec celle des gens d'ici. Je vois alors la blessure, heureusement cicatrisée, qu'il a à la gorge. Visiblement il doit la vie au paladin qui est encore à ses cotés....
Et après une horrible quinte de toux, il reprend péniblement :
"-Votre organisation mérite d'être démantelée pour le bien de cette populace...."

Je regarde alors le brigand, que je tiens encore par les cheveux, et lui dis :
"Qu'est-ce qu'on décide, champion ? Parceque, pour tout te dire, je n'ai aucune confiance en toi et je crois que dès qu'on aura le dos tourné, tu t'empressera de nous balancer à tes petits camarades..."

Je regarde alors l'assistance qui m'entoure (tout en jetant un oeil du genre "t'es une bizarre, toi" à cette humaine qui m'a aidé à interroger le malotru) et demande :
"Alors, qu'est-ce qu'on fait de lui ? On le laisse se vider comme un porc sur le sol de cette modeste auberge ? Où on le sauve ?"

-Même si ce type est une ordure de première, je ne peux me résoudre à le tuer de sang froid alors qu'il est dans cet état...-

[mavina (crysania)]

Ce guerrier hésite à le tuer, mais on a eu ce qu'on voulait, pourquoi on devrait l'épargner ...
Je regarde le guerrier et lui dit, d'un air menançant :

Je suis d'avis de le tuer, le plus vite sera le mieux!

Tout en disant celà, je saisis la tête du bandit et tente de lui briser la nuque. Si je ne réussis pas, je le rue de coups en activant le déluge de coups. Si je réussis, je me releve.

Quoi qu'il arrive, ensuite, je nettoie ma main ensanglantée en souriant, me retournant vers tout le monde en disant :

Voilà qui est fait, je propose de faire de même pour tous ces bandits, après s'être reposé de cette petite bagarre, nous pourrions leur rendre une visite, non ?

J'esquisse une mimique, un rictus sur une pensée qui m'a traversée l'esprit. Je reprends ensuite, baissant ma tête pour plonger mes yeux dans l'ombre :

Et les faire souffrir comme celui là ... hum..hum....

Je croise les bras, attendant une réaction des autres.
Rien que d'y penser, j'en frémis

[Erwinel]

Evhan est à nouveau opérationnel, voilà qui fait plaisir. Je l'aide à se relever et lui conseille de ne pas trop parler tant que ce n'est pas complètement guéri.

Celendorf interroge avec poigne le bandit qui n'a pas pu s'échapper. Je préfère ne pas intervenir directement jusqu'à ce que Crysania s'en approche et le torture un peu brutalement. Cela a de l'effet puisque le brigand se met à table. L'humaine semble ensuite tenter de l'achever.

Arrêtez ça tout de suite !! Il a parlé, en quoi est-ce nécessaire de le tuer? Nous pourrons le laisser partir quand nous nous serons occupé de ses camarades. En attendant, il pourrait réparer les dégâts qu'il a causé ici, je pense que ce serait une bonne leçon de savoir-vivre.

Sur ces paroles, je m'approche du bandit et lui demande, en désignant Crysania :

Qu'en penses-tu? Tu préfère faire pénitence, ou dois-je vraiment te laisser entre des mains si douces?

Si j'arrive trop tard pour arrêter Crysania, je prie au moins pour le salut de son âme.

Crysania propose alors d'aller s'occuper de tous les autres bandits :

Il faudra s'en occuper effectivement, mais je ne crois pas qu'on pourra se permettre d'y aller avec de telles blessures... (je montre Evhan)Ligotons celui-là (s'il est encore vivant) et reposons-nous un peu en attendant.

Je reste ici pour le moment, qu'on ne soit pas surpris par d'autres visiteurs opportunistes...