[L'invasion]c'est parti!

[plic-ploc]

Je pose mon paquet et, sur le conseil du prêtre, me dirige droit vers l'armoire. Il fait faim. Si je trouve à manger ou à boire, j'engloutis tout ce que je peux.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Alors que Thiazzi ouvre péniblement les yeux, il est aveuglé par la lumière de la salle, des torches, des gens, des voix, ça bouge autour de lui… Il est pris d’un vertige qu’il parvient tant bien que mal à maitriser. Cependant il se sent bien, ses muscles sont douloureux et une cicatrice énorme lui traverse désormais la poitrine, mais il est vivant, et enfin maître de ses actions.
Les autres membres du groupe réfugiés dans le hall de la guilde des voleurs semblent tous moroses, ils se posent tous dans leur coin, silencieusement, préparant leur armes ou mangeant un morceau. Le haut prêtre vient les voir un à un et les soigne, cette opération s’avère bien moins douloureuse que prévu, si bien que quelques minutes après, tout le monde est sur pied et prêt à reprendre la route…

Pendant ce temps, dans les égouts, Linhaendel est paniqué par la disparition de son amie, elle décide de se placer dans le tunnel qu’a emprunté le groupe et d’écouter, elle entend très vite les bruits de pas de ceux qui ont suivis le prêtre s’éteindre, puis de nouveaux bruits arriver de la direction d’où elle vient, à en juger par les bruits, un petit groupe de personne…

Encore un peu plus loin Severina ne parait pas, une fois encore, supporter le torrent d’émotion qui la submerge et se replie sur elle-même, hystérique. La voix de la paladine semble la calmer, ce qui n’est pas le cas des jeunes prêtres qui l’accompagnent désormais. Ils semblent ne pas partager son enthousiasme et hésitent à aller combattre des araignées. Heureusement le grand jeune homme blond reprend vite son courage, resserre encore un peu sa prise sur son arme et avance d’un pas décidé… Ils tombent très vite sur Linhaendel qui attendait une vingtaine de mètre plus loin, à l’affut du moindre bruit.

*Si le groupe décide d’emprunter le chemin qu’a pris le haut prêtre, il tombe rapidement sur les gardes qui font leur dernière ronde et qui les raccompagnent jusqu’à la guilde des voleurs où le prêtre soigne leur blessures*

[Linhaendel]

Linhaendel entend les bruits qui se rapprochent, elle retient son souffle et voit apparaître un groupe de personnes qu’une jeune femme en armure semble conduire ! et …
« Severina » Linhaendel ne peut retenir sa joie et son cri ! ni ses larmes d’ailleurs !
Linhaendel ne sent plus sa blessure, ne sent plus l’odeur des égouts, ne sent plus… enfin Linhaendel ne se sent plus ! elle fond en larmes et sur Severina en bondissant et bousculant tout sur son passage en commençant par la pudeur, la bienséance, un prêtre, les convenances, un autre prêtre, …

« si l’on me demande (où est le reste du groupe ?) j’indique du doigt le tunnel que le vieux sage a emprunté tout en continuant de sourire à Severina ! »
« si l’on me demande rien, ( ce n’est pas une raison pour me taire) j’indique du doigt le tunnel que le vieux sage a emprunté tout en continuant de sourire à Severina et en précisant « le groupe qui était avec nous est parti par là avec un puissant magicien ! »

[Erwinel]

En remontant le tunnel, nous rencontrons une autre elfe, qui semble reconnaître la jeune elfe terrorisée que j'accompagne. Elle semble même s'être beaucoup inquiété pour elle, ce n'est malheureusement pas le moment de fêter les retrouvailles.

Je m'excuse d'être brusque, mais vous fêterez vos retrouvailles plus tard, il nous faut trouver la sortie. Où est passé le reste du groupe?

L'elfe m'indique du doigt un tunnel, je fais signe aux prêtres derrière moi.

Ils ont trouvé de l'aide avant que nous arrivions, nous devrions les rattraper et nous joindre à eux.

Je m'avance ensuite dans le tunnel entraînant les deux elfes et les prêtres avec moi.
Ce puissant magicien a du s'occuper des araignées avant notre arrivée, il connait sûrement la sortie.

Nous rencontrons bientôt un groupe de gardes qui nous guide jusqu'à la guilde des voleurs. Là, un prêtre est occupé à soigner les blessures. Je range mon arme en le reconnaissant et le salue.

Nous nous rencontrons à nouveau mon père. Certains de vos fidèles ont bien voulu me suivre jusqu'ici, je redoute le pire pour les autres qui sont restés dans le temple. Espérons que Tyr aura eu la bonté de les protéger. Nous n'avons malheureusement pu sauver personne, la ville est en ruines et n'avons rencontré que ces deux elfes qui ont apparemment eu à en découdre avec des araignées géantes.

Je laisse ensuite les prêtres et les elfes avant d'entamer la phrase qui me brûle les lèvres :

Vous étiez sûrement avec les prêtres qui combattaient sur la grand place... Pouvez-vous m'expliquer ce qui s'est passé durant ce duel entre les deux Seigneurs? J'espère avoir mal vu, mais je crains que le Seigneur qui défendait la cité n'ait du payer très chèrement son combat...

[cannonball]

Je me réveille,considère la salle dans laquelle je suis,les autres personnes qui sont présentes,puis je reprends peu à peu mes esprits.La ville,la taverne,le combat.je crie "LE COMBAT ? Grendel! Qu'est-il devenu ? Comment suis-je arrivé la ?"

[Kyllan]

*S'étire après le soin du prêtre et le remercie*
*Recule dans l'ombre et commence à reluquer les fesses de l'humaine qui les accompagnaient depuis la taverne en attendant un peu d'action *

[mavina (crysania)]

Après avoir trouvé un endroit où me poser, je m'assois et regarde mes blessures, notemment les brulures de la boule de feu dans la rue.
Voyant le pretre s'approcher, j'accepte sans une petite moue de me faire soigner. Le prêtre passant à quelqu'un d'autre, je regarde la salle avec attention, puis je me mets à genous, priant Baine.

Ensuite, j'observe patiemment la suite des évènement.

Cet homme en armure va surement revenir...

[Kzardall I-Kâzend]

Alors que j'observe le prêtre soigner le groupe d'arrivants, j'entends derrière moi l'elfe noir blessé se réveiller. Il se met alors à hurler : "LE COMBAT ? Grendel! Qu'est-il devenu ? Comment suis-je arrivé la ?". Visiblement le pauvre bougre est encore sous le choc de son dernier affrontement, qui faillit lui coûter la vie.

Je le laisse alors se remettre de ses émotions et me décide à aller éclaircir bien des points obscurs.
Je soulève alors le voile qui mêne au seigneur Tharn et, le temps de m'habituer à l'obscurité environnante, je le trouve et lui demande :
"Pardonnez-moi de vous déranger, Seigneur Tharn, mais j'aimerai connaitre l'origine et l'ampleur de la menace qui pèse sur nous tous."
En espérant que sa réponse me rassurera. Même si j'en doute fort....

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

« LE COMBAT ? Grendel! Qu'est-il devenu ? Comment suis-je arrivé la”
Thiazzi semble toujours sous le choc et le prêtre qui l’a soigné lui répond d’une voix apaisante :
- Calmez-vous mon ami, vous êtes en vie et en sécurité… Pour le moment… Reposez-vous quelques minutes, vos esprits vous reviendront très vite. Quand à ce Grendel, je ne sais pas qui il est mais je crains que tous les survivants ne soient dans cette pièce… Essayez de questionner les gens autour de vous, certains en sauront peut être plus…

Pendant ce temps, les autres membres du groupe finissent de se faire soigner et accusent la fatigue, l’adrénaline du combat retombant. Ils s’étirent et s’assoient, priant ou reluquant les courbes de leurs partenaires d’infortune (ce qui ne manque pas d’échapper à la personne concernée)…

Alors que la silhouette de Severina se dessine dans la pénombre Linhaendel ne peut contenir son émotion, elle éclate en sanglot tout en se précipitant sur son amie, bousculant tout ce qui se trouvait sur son chemin. Cette explosion d’émotivité est de courte durée, la paladine qui guidait le groupe l’interrompt et lui demande où se trouvent les autres survivants avant de se mettre en marche dans la direction indiquée par la jeune elfe.
Au bout de quelques minutes de marche, ils tombent nez à nez sur les deux gardes qui effectuaient leur dernière patrouille. Une courte discussion permet à tout malentendu d’être évité et ils se mettent en route vers la guilde des voleurs. Le garde derrière la porte laisse entrer le groupe sans problème. La lumière vive des torches contraste avec la pénombre des égouts, aussi il faut quelques secondes aux nouveaux arrivants pour voir le prêtre finir de soigner les blessés et la poignée de survivants assis silencieusement, l’air hagard.

Erwinel reconnait immédiatement le grand prêtre et lance :
- Nous nous rencontrons à nouveau mon père. Certains de vos fidèles ont bien voulu me suivre jusqu'ici, je redoute le pire pour les autres qui sont restés dans le temple. Espérons que Tyr aura eu la bonté de les protéger. Nous n'avons malheureusement pu sauver personne, la ville est en ruines et n'avons rencontré que ces deux elfes qui ont apparemment eu à en découdre avec des araignées géantes.
Le prêtre la regarde d’un air triste :
- Je suis soulagé que quelques disciples aient eu le courage de vous suivre mon enfant, et encore plus de vous savoir en vie… La mort des autres jeunes hommes est une catastrophe de plus à déplorer… Tant de vies gâchées… Les araignées géantes étaient un moindre mal, bien que notre arrivée ait été opportune… Enfin nous devons concentrer nos efforts sur les survivants, personne ici n’est encore mort, et je ferais en sorte que cela reste ainsi… Ne bougez pas…
Avant de laisser son interlocutrice répondre, il incante quelque chose d’incompréhensible et une lueur bleue entoure les deux elfes, refermant leur blessures.

C’est pendant cette conversation que Celerndorf décide d’obtenir des réponses, il pousse la tenture qui séparait le seigneur Tharn du reste du groupe et se retrouve dans une petite pièce, plus faiblement éclairée, mais tout aussi sobrement décorée. En son centre se trouve quatres personnes, en train de discuter autour d’une table, le rodeur se permet de les interrompre :
- Pardonnez-moi de vous déranger, Seigneur Tharn, mais j'aimerai connaitre l'origine et l'ampleur de la menace qui pèse sur nous tous.
La réponse de ce dernier est aussi rapide qu’indiscutable :
- Désolé jeune homme, vous allez devoir attendre quelque peu, maintenant que la patrouille est revenue, nous partons, nous discuterons en route
Sur ce, il passe à côté de Celerndorf, lui tapant nonchalamment sur l’épaule, et entre dans la salle principale.

De son côté, Erwinel poursuit sa conversation avec le haut prêtre :
- Vous étiez sûrement avec les prêtres qui combattaient sur la grand place... Pouvez-vous m'expliquer ce qui s'est passé durant ce duel entre les deux Seigneurs? J'espère avoir mal vu, mais je crains que le Seigneur qui défendait la cité n'ait du payer très chèrement son combat...
Son regard s’assombrit à cette question.
- J’ai effectivement participé à ce…. Combat… Qui m’a couté la vue… Me rapprochant ainsi ironiquement de mon Dieu…Nul seigneur n’a combattu lors de ce duel, l’homme qui a péri ce soir était le respectable champion de notre église… Tyr ait son âme, il était comme un fils pour moi… Je ne connais pas l’identité de son assassin, mais il était d’une puissance qui dépasse l’entendement. Quels que soient ses desseins, j’ai bien peur que le danger ne concerne pas que notre cité…

A ce moment le seigneur Tharn entre à nouveau dans la pièce, il est cette fois suivi de trois personnes, le premier est un homme dans la quarantaine, vêtu d’une armure de cuir marron sombre, ses longs cheveux grisonnants sont attachés, il porte un bandeau sur l’œil droit et un arsenal impressionnant de dagues, il semble être le chef de cet endroit. Le second est reconnu immédiatement par la plupart des personnes présentes dans la taverne, il s’agit du renommé Klein, qui en plus d’avoir survécu, semble bel et bien connaitre le seigneur de cette ville. Le dernier quand a lui semble toujours mal en point, il s'agit du tavernier, lui aussi passe entre les mains du pretre... Il tient a peine debout et son teint est d'une paleur cadaverique mais il est vivant lui aussi...Tharn prend la parole d’une voix puissante :
- Aujourd’hui quelque chose de sombre et incroyablement puissant a attaqué notre ville, nous n’avons pas pu résister, mais nous sommes tous, ici, vivants ! Et j’entends bien le rester, vous vous doutez surement que l’attaque ne s’arrêtera pas là, d’ici quelques heures, il n’y aura plus âme qui vive à des kilomètres. En ce moment même, les égouts par lesquels nous sommes tous passés sont le théâtre d’affrontement entre les hommes de mon ami ici présent.
Il indique de la main l’homme aux cheveux longs avant d’ajouter :
- Pour le moment les pièges et le fait qu’ils ne connaissent pas les lieux nous donnent l’avantage, mais ca ne durera pas. Nous devons tous évacuer et je dois me rendre à la capitale. Nous accompagnerons tous ceux qui le souhaitent jusqu’au premier village, les autres sont bien sur libres de faire ce qu’ils souhaitent… Sur ce, suivez-nous…
A ces mots, le chef des voleurs se dirige vers l’un des murs, sort tranquillement l’une de ses dagues et s’entaille la paume en prononçant quelques mots. Un grondement sourd se fait entendre alors que le mur s’ouvre littéralement devant lui, révélant une nouvelle série de galeries.

Il se met alors à côté de l’ouverture et laisse la place au seigneur Tharn qui s’y engouffre accompagné de deux gardes et de Klein. Les autres gardes invitent toutes les personnes présentes à emprunter le passage et ferment la marche, accompagnes du tavernier. Tout en marchant, Tharn reprend :
- Je pense que nous en avons pour deux ou trois heures de marche tranquille avant d’arriver à la caverne qui mène dehors. Aux dernières nouvelles elle était occupée par un groupe de gnolls et je doute qu’ils nous laissent passer… Tenez-vous prêts…

[cannonball]

"- Calmez-vous mon ami, vous êtes en vie et en sécurité… Pour le moment… Reposez-vous quelques minutes, vos esprits vous reviendront très vite. Quand à ce Grendel, je ne sais pas qui il est mais je crains que tous les survivants ne soient dans cette pièce… Essayez de questionner les gens autour de vous, certains en sauront peut être plus…"

Ca y est,je me souviens...le combat dans la taverne,puis cette humaine qui porta le coup fatal à mon compagnon de toujours...maudite soit-elle! Je te vengerais,Grendel,je la tuerai et je trouverai un moyen de te ramener à la vie,tu as ma parole!

Je décide de suivre le groupe,je marche le plus près possible de celui qui ouvre la marche.

[Kzardall I-Kâzend]

"- Désolé jeune homme, vous allez devoir attendre quelque peu, maintenant que la patrouille est revenue, nous partons, nous discuterons en route"
Voila les seules paroles que le seigneur Tharn prononce alors qu'il passe à coté de moi, me tapotant l'épaule au passage. Et le ton ne peut souffrir d'aucune réplique. Il franchi alors le rideau qui mêne à la grande salle, accompagné de trois personnes auxquelle je n'avais pas prêté attention à mon arrivée dans la pièce où il se trouvait.
L'un d'entre eux est un homme qui à la quarantaine, revêtu d'une armure de cuir et qui porte un bandeau sur l'oeil droit, le suivant est un chevalier dont l'armure porte encore les stigmates d'un combat récent et dont la violence dû être impressionnate. Apparement son porteur semble être en bonne santé. Tandis que le dernier est l'homme blessé que portait l'orc à son entrée. Visiblement celui-ci va un peu mieux après que le prêtre l'ai soigné; mais son teint blafard montre qu'il n'est pas complètement rétablit.
La voix puissante de Tharn se fait alors entendre :

- Aujourd’hui quelque chose de sombre et incroyablement puissant a attaqué notre ville, nous n’avons pas pu résister, mais nous sommes tous, ici, vivants ! Et j’entends bien le rester, vous vous doutez surement que l’attaque ne s’arrêtera pas là, d’ici quelques heures, il n’y aura plus âme qui vive à des kilomètres. En ce moment même, les égouts par lesquels nous sommes tous passés sont le théâtre d’affrontement entre les hommes de mon ami ici présent.
Et tout en désignant l’homme aux cheveux longs, d’ajouter :
- Pour le moment les pièges et le fait qu’ils ne connaissent pas les lieux nous donnent l’avantage, mais ca ne durera pas. Nous devons tous évacuer et je dois me rendre à la capitale. Nous accompagnerons tous ceux qui le souhaitent jusqu’au premier village, les autres sont bien sur libres de faire ce qu’ils souhaitent… Sur ce, suivez-nous…

L'homme aux cheveux long grisonnants s'entaille alors la paume tout en récitant une incantation. Le mur devant lui se met alors à s'ouvrir, dévoilant une série de corridors. Le seigneur Tharn mène alors la marche en s'engouffrant à l'intérieur, invitant le reste du groupe à le suivre. Chacun s'éxécute et alors que nous avançons tranquillement, le seigneur Tharn ajoute :
- Je pense que nous en avons pour deux ou trois heures de marche tranquille avant d’arriver à la caverne qui mène dehors. Aux dernières nouvelles elle était occupée par un groupe de gnolls et je doute qu’ils nous laissent passer… Tenez-vous prêts…

*Tu parles que je vais être prêt !!*, me dis-je en mon for-intérieur. Rien ne m'arrêtera pour sortir de cette fosse puante que vous appelez "cité".....
Et alors que tout le monde suit le Chef de file, je met en branle mes quenelles afin de surprendre quelques conversations entre Tharn et d'autres ainsi que pour détecter d'éventuels bruits suspects. (*active Perception auditive*)

[Linhaendel]

Linhaendel est heureuse, elle a appris à toujours voir le bon coté des choses ! elle est vivante, Severina est vivante et elle est entourée de personnes vivantes !
Elle déambule dans la galerie, marchant de concert, avec l’ensemble du groupe et rejoint, je ne vous décris pas la scène, une salle surpeuplée et surchauffée ! Elle ne s’attendait pas à un tel spectacle !
Elle avait espéré découvrir, au bout de ce tunnel, une verte prairie avec une petite rivière d’eau cristalline où elle aurait pu se laver et ensuite se reposer !
Non vraiment il y avait vraiment beaucoup de monde ! certaines et certains semblaient même bien se connaître ! Perdue dans ses pensées, Linhaendel ne fit pas attention à la lueur bleue qui l’enveloppa avec Severina. C‘est une fois la douleur de sa jambe disparue que Linhaendel réalisa, qu’une fois encore cet homme que l’on ne remarque pas, lui avait sauvé la vie ! elle décida de lui donner un petit surnom : Providence !

Un homme que l’on peut difficilement ne pas remarquer prit la parole ! A coté de lui il y avait Metos, il était très pale mais vivant ! Linhaendel lui lança un grand sourire et lui fit un petit coucou de la main !
Lorsque tout le monde sembla quitter la salle en empruntant un passage secret, Linhaendel essaya de s’approcher le plus possible de Metos en entraînant Severina !
« viens Severina ! il y a Metos devant nous, viens ! nous allons sortir d’ici ! »

[Raistlin/Cara]

Severina répondit à son amie par un faible sourire. Qu'il était bon de voir quelqu'un que rien ne semblait pouvoir perturber, comme si sa bonne humeur était inébranlable !
Severina, elle, marchait comme une zombi, suivant lentement la cohorte. Elle ne se pressa pas pour rejoindre son amie.
Les images de mort, de sang et de cadavres hantaient son esprit. Elle sentait encore les charniers, la chair brûlée... l'elfe avait mal au cœur après avoir vu des spectacles aussi atroces, et ne savait comment réagir pour améliorer les choses. Elle ne comprenait pas vraiment qui étaient ces gens autour d'elle, sinon que tant qu'elle était avec eux sa sécurité était relativement assurée.

Aussi avançait-elle, l'esprit perdu, une moue triste sur le visage, sans vraiment savoir quoi faire.

[Sid]

Linhaendel était vraiment heureuse ! et elle ne put retenir un petit cri de joie lorsqu'elle vit parmi les premières personnes, qui suivaient le seigneur de la ville dans le passage secret, l'Elfe noir qui était venu, avec son loup, les aider dans la taverne !
si Severina ne paraissait pas aussi triste, Linhaendel danserait de joie !!!
Linhaendel pré-Ferrat chantonner ! après tout une chanson peut guérir bien des maux !
Le vent dans tes cheveux blonds
Le soleil à l'horizon
Quelques mots d'une chanson
Que c'est beau, c'est beau la vie

Un oiseau qui fait la roue
Sur un arbre déjà roux
Et son cri par-dessus tout
Que c'est beau, c'est beau la vie

Tout ce qui tremble et palpite
Tout ce qui lutte et se bat
Tout ce que j'ai cru trop vite
À jamais perdu pour moi

Pouvoir encore regarder
Pouvoir encore écouter
Et surtout pouvoir chanter
Que c'est beau, c'est beau la vie

Le jazz ouvert dans la nuit
Sa trompette qui nous suit
Dans une rue de Paris
Que c'est beau, c'est beau la vie

La rouge fleur éclatée
D'un néon qui fait trembler
Nos deux ombres étonnées
Que c'est beau, c'est beau la vie

Tout ce que j'ai failli perdre
Tout ce qui m'est redonné
Aujourd'hui me monte aux lèvres
En cette fin de journée

Pouvoir encore partager
Ma jeunesse, mes idées
Avec l'amour retrouvé
Que c'est beau, c'est beau la vie

Pouvoir encore te parler
Pouvoir encore t'embrasser
Te le dire et le chanter
Oui c'est beau, c'est beau la vie

[cannonball]

Thiazzi remarqua les deux elfes qu'il avait maladroitement tenté d'aider dans la taverne,et décida de parler avec eux.Mieux vaut des amis que des ennemis,se dit-il:

"Thiazzi:Bonjour,je me nomme Thiazzi,ne soyez pas effrayés par mon apparence,je ne suis pas la pour tuer ou piller.Si je peux me permettre de vous demander vos noms ?

[Erwinel]

Soulagée de savoir que le Seigneur Tharn n'est pas mort dans le combat, je remercie le prêtre de ses explications et lui adresse mes condoléances pour le champion qui a péri.

Que Tyr l'accueille auprès de lui pour récompenser sa bravoure, et qu'Illamter vous protège pour avoir ainsi sacrifié vos yeux, mon père.

Je décide de suivre ensuite le groupe dans les pas du Seigneur Tharn. Les deux elfes semblent heureuses de s'être retrouvées et un elfe noir leur adresse la parole, je me joins à la conversation :

Pardonnez-moi pour le ton rude employé tout à l'heure, mais il ne fallait pas traîner. Permettez-moi de me présenter : je m'appelle Erwinel, je suis une demi-elfe du royaume de Tyrr-la-Ghoule et je sers Illmater en qualité de paladin. Votre amitié est belle à voir et je ferais tout mon possible pour que nous sortions tous d'ici dans les meilleures conditions.

[Kyllan]

*Se relève rapidement en voyant le seigneur Thran entrer dans la pièce*
*Regarde avec intérêt le maitre des voleurs ouvrir une porte magique*
Ça pourrait m'être utile un jour ce truc...
*Suis le groupe en rasant les parois du tunnel (discrétion)*

[Linhaendel]

Thiazzi:Bonjour,je me nomme Thiazzi,ne soyez pas effrayés par mon apparence,je ne suis pas la pour tuer ou piller.Si je peux me permettre de vous demander vos noms ?

Bonjour, effrayés ? qui ça ? (désignant un groupe d'humains) eux !! je ne les connais pas !
apparence ? il n'y a que les humains qui attachent de l'importance à l'apparence, je suis une Elfe de Lune, cela ne se voit pas ? mon amie est une Elfe Esprit, la plus charmante d'ailleurs !
pas là pour tuer ? ah ! pendant un moment j'ai pensé que c'était la seule distraction locale ! bah heureuse alors !
Thiazzi, c'est bien ça ? je suis enchantée et mon amie est enchanteresse !"

Erwinel :Pardonnez-moi pour le ton rude employé tout à l'heure, mais il ne fallait pas traîner. Permettez-moi de me présenter : je m'appelle Erwinel, je suis une demi-elfe du royaume de Tyrr-la-Ghoule et je sers Illmater en qualité de paladin. Votre amitié est belle à voir et je ferais tout mon possible pour que nous sortions tous d'ici dans les meilleures conditions.

bah y'a pas de mal, je suis désolée je n'ai malheureusement pas beaucoup fait attention à ce que vous m'avez dit ! veuillez m'en excuser ! vous disiez ?
enchantée ! moi c'est... enfin voici mon amie Severina ! mais que je suis sotte, vous la connaissez ! elle vous a même ,peut être, parlé de moi ? enfin je m'appelle Linhaendel et je suis de la Lune ! une Elfe ! enfin une Elfe de Lune ! mon père est un Nain mais je ressemble beaucoup à ma mère ! même si j'ai le caractère de mon père !
je connais Tyrr-la-Ghoule, j’ai lu des livres sur votre royaume , enfin surtout un ! je crois que c’était un livre de cuisine ! mais un beau livre, j’y ai appris beaucoup ! je serais ravie de découvrir votre joli royaume !
Illmater ? Illmater ? je suis désolée je ne connais pas cette personne ! je suppose que c’est un ami à vous ! dans ce cas cela doit être une personne agréable ! Illmater ? non ! maintenant j’en suis sûr il n’en parlait pas dans mon livre de cuisine !
Paladin !!! bah je vais être honnête, c’est la première fois que je vois un Paladin ! j’en ai lu des histoires de Paladins ! mais comme on dit toujours, ce ne sont que des histoires ! heu… c’est vrai qu’un Paladin combat toujours le mâle ? heu… le mal ! désolé, j’ai toujours tendance à les confondre c’est deux là ! mais c’est génial, quand je vais dire ça à mon petit frère ! vous voudriez bien lui apprendre tous vos petits secrets ? hein ! oh merci vous êtes un Ange !
Quand je pense que vous êtes Paladin, je savais que Severina trouverait ce qu’il se fait de mieux pour venir nous sortir de ce trou ! merci ! bah alors en route, Erwinel ! c’est ça ?

(A Thiazzi) Linhaendel, je m’appelle Linhaendel et voici mon amie Severina ! on y va ?

(A Erwinel) Vous avez de la famille sur la Lune ? tous les demi-Elfes sont frères ? vous devez alors connaître mon professeur de musique ? c’est vrai qu’un Paladin sait toujours ce qui est juste ? c’est vrai que le mieux est l’ennemi du bien ? on est bientôt arrivé ?

(A Severina ) tu vois ! nous avons de la chance, elle connaît la Lune et puis elle va nous aider !

(A Thiazzi) vous connaissez la Lune ?

[cannonball]

Eh bien,je suis heureux de faire votre connaissance,Linhaendel,Severina et Erwinel,à qui je vous entend parler *Thiazzi sourit à d'autres humanoïdes,pour la premiere fois de sa vie*.Je ne connais malheureusement pas la lune,qui m'a tout l'air d'un endroit fort sympathique! Je viens de la Grande Foret,dans laquelle j'ai toujours vécu.
D'ailleurs,si un jour vous décidez de faire une promenade dans la Grande Foret,prévenez moi,et je me ferai un plaisir de vous montrer les endroits les plus beaux et de vous protéger des animaux sauvages qui,pardonnez leur instinct,ont forte tendance à s'attaquer assez violemment à tous ceux qui s'approchent de leurs petits.Ils me connaissent tous pour la plupart et savent que je ne leur veux aucun mal,mais tout est différent pour les voyageurs *Thiazzi sourit une deuxieme fois,cela lui parait de moins en moins étrange*.
Maintenant que nous avons "fait connaissance",je me demandais si,quelque soit la raison qui vous a poussé à venir dans cette ville,il vous paraitrait être une bonne idée que nous coopérerions ensemble afin de réaliser nos objectifs,ou meme,dans la situation présente,pour tenter de survivre ?

[mavina (crysania)]

Le seigneur Tharn nous invite à le suivre... Soit, je me lève et le suis, après avoir vu cet elfe noir dont j'ai tué le loup aller parler aux humains...

Il mijote quelque-chose...

Je vois une silouhette raser les murs et se faire discret, je m'en approche et lui demande :

Bonjour, je suis crysania, et j'aimerai te parler en privé

Tout en marchant à ses cotés, j'attends sa réponse.


[hrp] si tu décides de me parler en privé, j'attendrai ton mp[/hrp]

[Raistlin/Cara]

Severina se recula autant que possible pour se cacher derrière son amie pendant la discussion : trop timide, elle n'osait pas vraiment prendre la parole. Linhaendel avait un débit de paroles assez hallucinant, et elle avait du mal à suivre ce qu'elle disait, même si elle réussissait à se raccrocher à quelques phrases.
Observant Erwinel et l'elfe noir, elle sourit légèrement, détournant le regard quand ceux-ci l'observaient. Elle n'aimait pas beaucoup la présence de l'elfe noir, même si celui-ci avait plus été à plaindre qu'autre chose lors des derniers évènements... mais dans toutes les histoires, ces gens-là étaient les méchants. Mais puisque ni Erwinel ni Linhaendel n'avaient de réaction négative, elle préférait se faire remarquer le moins possible.

[Kzardall I-Kâzend]

Pendant que le groupe de nouveaux venus fait connaissance et semble monter de petites alliances, je me rapproche du grand gaillard affublé de sa doubble-hache.
Visiblement les soins du prêtre l'ont bien ragaillardit et sa pâleur d'il y a quelques instants est complètement estompée.
N'ayant pu obtenir satisfaction avec le seigneur Tharn, qui ne pipe mot depuis qu'il s'est engagé dans le tunnel, je me tourne vers lui après avoir marché quelques secondes à côté de lui et lui dis :

" Dites-moi, savez-vous ce que signifie cette attaque et les conséquences qu'elle pourrait avoir sur le royaume ? Vous savez, je ne suis ici que de passage et tout ce que je veux c'est sortir d'ici et reprndre une vis normale, hors de cette puan....euh de cette ville." corrigeant de justesse mes propos de peur d'éveiller la sucpetibilité de mon interlocuteur.

Je continue de regarder et d'écouter se qui se passe autour de moi en attendant sa réponse. Prudence est mère de sureté...

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Tout le groupe se met en route à la suite du seigneur Tharn, le début du voyage est assez terne, tout le monde semblant accuser la fatigue. L’homme au bandeau prend rapidement la tête du groupe et le guide dans les méandres des cavernes et des tunnels qu’il semble connaitre comme sa poche. Les soldats sont répartis le long du groupe et portent tous une torche. Parfois le groupe doit avancer en file indienne tellement les tunnels rétrécissent mais à part quelques endroits particulièrement escarpés, la marche se fait sans trop de difficulté
Au bout de quelques instants, les langues se délient et les discussions vont bon train. Alors que les elfes préfèrent parler entre eux, Celerndorf s’adresse à Metos qui se tient à quelques mètres de la tête du groupe :
" Dites-moi, savez-vous ce que signifie cette attaque et les conséquences qu'elle pourrait avoir sur le royaume ? Vous savez, je ne suis ici que de passage et tout ce que je veux c'est sortir d'ici et reprendre une vis normale, hors de cette puan....euh de cette ville."
Bien qu’ayant repris des couleurs, la voix du tavernier est toujours faible lorsqu’il répond :
« Pour tout vous dire jn’en sais pas beaucoup plus que vous, j’étais dans ma taverne quand tout est arrivé, et j’ai aidé les gens à s’enfuir… Jn’ai même pas vu la tête des envahisseurs… J’ai assisté à une partie de la réunion entre Tharn et Fey l’homme que vous avez vu ouvrir le passage secret »
Il ajoute « Ce n’est pas son vrai nom, mais on l’appelle tous comme ça depuis des lustres » avant de reprendre :
« Tout ce que je peux vous dire c’est que cette attaque était suffisante pour inquiéter ces deux là et forcer Tharn à se rendre à la capitale…et ça veut dire beaucoup… Tharn déteste la capitale ! Puisque vous me demandez mon avis, même si j’sais pas pourquoi il nous ont attaqué, j’pense pas que ça s’arrête là, les défenses de la ville ont été massacrées, ils devaient vraiment être balaises…J’sais pas qui possède une si grosse armée, mais on peut en faire des choses avec ça… Jpense que Tharn en saura un peu plus si vous voulez tout savoir »

[Kzardall I-Kâzend]

« Tout ce que je peux vous dire c’est que cette attaque était suffisante pour inquiéter ces deux là et forcer Tharn à se rendre à la capitale…et ça veut dire beaucoup… Tharn déteste la capitale ! Puisque vous me demandez mon avis, même si j’sais pas pourquoi il nous ont attaqué, j’pense pas que ça s’arrête là, les défenses de la ville ont été massacrées, ils devaient vraiment être balaises…J’sais pas qui possède une si grosse armée, mais on peut en faire des choses avec ça… Jpense que Tharn en saura un peu plus si vous voulez tout savoir »

Je tourne alors le regard vers le seigneur de cette cité et, tout en saluant mon interlocuteur, va vers lui pour en savoir plus.
Je repense cependant à ce que ma dit Metos. Visiblement la ville est maintenant à la merci de ces envahisseurs venus de je ne sais où et quelque chose me dit qu'ils ne vont pas s'arrêter là... Un frisson glacé me parcourt le corps alors que j'imagine ces créatures tout détruire sur leur passage aussi bien les villes que les forêts. Et si elles atteignaient le village de ma défunte mère ...?
J'arrête là mes pensées de peur qu'elles ne me déstabilisent à elles seules et arrive alors à la hauteur du seigneur Tharn.
"Vous me connaissez déjà, seigneur Tharn, aussi savez-vous ce qui me tracasse. J'espère seulement que la situation n'est pas aussi alarmante qu'elle ne parait l'être."

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Après sa courte discussion avec Metos, Celerndorf se dirige vers Tharn et s’adresse à lui :
-Vous me connaissez déjà, seigneur Tharn, aussi savez-vous ce qui me tracasse. J'espère seulement que la situation n'est pas aussi alarmante qu'elle ne parait l'être.
Le seigneur en question a l’air grave et songeur, il met quelques secondes à s’apercevoir qu’il s’adresse à lui :
-Ah ! Vous êtes l’homme de tout à l’heure… Vous cherchez à comprendre, cela montre qu’il reste un brin de raison dans ce monde ! Cependant je n’en sais pas beaucoup plus… Et j’ai bien peur de ne pas combler vos espoirs… L’attaque était aussi soudaine que violente, personne ne s’attendait à cela… Et cette armée… Je ne savais pas qu’il était possible de réunir autant d’Orcs et de Trolls sous une même bannière… Et quelque chose me dit que ce nous n’avons encore rien vu. Les créatures qui semblaient diriger cette armée venaient clairement d’un autre plan, et en général ils ne se rassemblent pas sans raison, peut être préparent-ils une sorte de croisade… Dans tous les cas la situation est grave, c’est pourquoi je dois me rendre à la capitale, j’ai déjà envoyé des messages par les airs aux autres seigneurs influents, nous allons nous réunir à la capitale pour tirer cela au clair…
Puis il ajoute avec un sourire désabusé :
-Soyez sur que les hautes sphères de ce royaume s’occupent de ce cas, vous pouvez dormir tranquille.

[Sid]

Linhaendel continue de parler, attirant l'attention sur elle ! permettant ainsi à son amie Severina de rester cachée dans son ombre !
A Thiazzi "vous vivez dans une grande forêt ! avec des loups ! heu...désolée !!! enfin moi aussi j'ai eu un loup ! pour mon sixième anniversaire ! si si un blanc !"
s'approchant de Metos
A Thiazzi " c'est vrai ! vous seriez prêt à nous aider ? cela ne vous a pas porté chance la dernière fois ! heu... désolée !!! enfin nous non plus nous n'avons pas eu beaucoup de chance, je n'ai pas pu avoir mon lait fraise !"
frappant l'épaule de Metos d'une tape amicale qui se voulait être en même temps masculine
" bonjour vous ! vous savez que vous nous avez fait peur ! après l'attaque de l'araignée, je me suis dit : je n'aurai jamais mon lait fraise !"
esquissant un grand sourire félin
" nan mais ne recommencez plus ça ! et puis vous ressemblez trop à mon père ! je peux vous faire la bise ! vous pouvez pas savoir comment je suis heureuse ! pour l'auberge, on vous aidera à la reconstruire et on changera le nom ! si si on vous doit bien ça ! de toutes façons on ne vous quitte plus ! "
Linhaendel sourit à son amie Severina en espérant que la présence de Metos lui apporte un peu plus de réconfort !

[Erwinel]

Cette petite elfe parle bien et elle a un débit impressionnant. On dirait un enfant qui découvre le monde, c'est mignon.

Je me retourne vers elle :

Ecoute, petit, je répondrais à toutes tes questions lorsque nous aurons trouvé un abri sûr, d'accord? Pour le moment, nous devons suivre le groupe pour sortir d'ici.

Je regarde autour de moi pour jauger la valeur des personnes qui m'entourent. Il semble y avoir plusieurs guerriers valeureux, ainsi que des gardes loyaux et valeureux. L'elfe noir qui s'est approché des elfes ne semble pas bien dangereux, et moins fourbe que ce qu'on raconte d'habitude sur sa race... j'attendrais de voir ses actes pour juger.

Le groupe commence à avancer, je m'éloigne alors des elfes pour rejoindre l'arrière de la troupe.

Restez bien au centre du groupe, les guerriers vous protègeront si nous rencontrons des ennemis. Je vais prêter main forte à l'arrière garde, je pense que le plus grand danger risque d'arriver par là.

[Kzardall I-Kâzend]

"Soyez sur que les hautes sphères de ce royaume s’occupent de ce cas, vous pouvez dormir tranquille."

Voila qui ne me rassure pas plus que ça, cependant.
Je le remercie de son attention et m'éloigne, observant la petite animation qui se déroule sous mes yeux :
Apparement on dirait que chacun fait connaissances ou des petites alliances.
Mouai, bof, ça n'a jamais été mon truc de me fondre avec les gens. Même à l'époque où je fréquentais les marchés pour vendre le produit de ma chasse ou le fruit de mes cueillettes, je ne m'attardai jamais une fois mes étals vides. Préférant le calme de ma forêt et le confort de notre chez-nous familial.

Mais maintenant, les choses sont en train de changer. Et trop vite pour moi.
Pénétrer dans cette citée grouillante a déjà été une épreuve, mais devoir me terrer alors que la surface grouile de formes de vies immondes toutes prêtes à avoir notre peau... S'en est trop pour moi !
Pourtant je n'ai pas le choix. Pour m'en sortir je devrai surement faire quelques concession...
Le seigneur Tharn m'a parlé que ces monstres pourraient préparer une sorte de "croisade". Et on sait ce que ce genre de manifestation n'engendre que la mort et le chaos.
Soit ! Si il faut que je me batte et aille jusqu'au bout du monde pour nous débarrasser de ces créatures, je le ferai.
C'est sur cette conviction que je continue mon chemin, plus vigilant que jamais.
[mode Détection et Perception Auditive, On]

[mavina (crysania)]

Je m'approche de l'elfe noir discret et engage la conversation avec lui.

[Linhaendel]

La Noble Paladine s'éloigne du groupe
Restez bien au centre du groupe, les guerriers vous protègeront si nous rencontrons des ennemis. Je vais prêter main forte à l'arrière garde, je pense que le plus grand danger risque d'arriver par là.

une larme perle au coin de l'oeil gauche ( le plus sensible, le droit étant le directeur) de Linhaendel !
Linhaendel ne pouvait pas ne pas penser (et encore moins se taire) à une histoire que l'on apprend sur la Lune à l'école élément Terre.
Linhaendel se retourna vers un groupe de guerriers qui semblaient hypnotisés par la beauté de son amie Severina !
Linhaendel les arbalèta (le fusil n’existant pas) du regard et dit
« quel courage ! je ne connaît pas beaucoup d’homme ayant autant de courage que ce Noble Paladin nommée Erwinel ! ah si peut être, j’en connaît deux et je vais vous raconter leur histoire…
Il était mille et une fois, sur la Terre donc, deux preux chevaliers du désordre bétonnique, Roland et Durand Dalle !
le roi, Charles le magnifique, décida de partir en guerre contre les Huns fidèles à leurs idéaux en passant par la Lorraine avec ses sabots ! Il chargea Roland et son frère d’arme et de sang Durand de constituer l’arrière garde de son armée, l’arrière train étant confié à son fils Trouduc 1er et l’avant-garde à un médium avant-gardiste qui aurait du garder sa place au centre.
Ils partirent 500 et par un prompte renfort ils arrivèrent 3000 à bon Port. Les Huns et les Otres ( tribus ayant choisies de rejoindre l’autre côté du sien, le mauvais donc) décidèrent d’un commun accord unilatéral de tendre une embuscade farouche en travers de Port.
Tous purent embarquer avec Charles (le barbu pour les intimes) sauf l’arrière garde, qui subit l’assaut des hordes barbares surgissant de nulle part.
Les deux chevaliers bétons, armés jusqu’aux dents et plus précisément de piques et de carreaux, mirent du cœur à l’ouvrage pour préserver du déshonneur et des As saillants le dernier trèfle à quatre feuilles, sainte relique de la fille du pape Hypocrite VI.
La bataille fit rage en plus de nombreuses victimes innocentes aux mains pleines. Ployant sous le chiffre écrasant de Huns et un soleil de plomb, Roland préféra se rendre et donner son cor à la science. Durand se retrouva seul face aux Otres et n’écoutant que son courage décida de passer à la postérité et par les armes les scientologues. Il finit lui aussi par succomber au charme de l’orient et dans un dernier élan instinctif de survie, il essaya d’insuffler de l’air au corps de Roland, ce dernier n’émit aucun son ! sous les coups répétés des tétus barbares, Durand Dalle finit par plier mais ne rompit pas.
Ayant oublié sa femme (nièce du pape) sur la jetée, par terre, Charles décida de faire demi-tour avec sa flotte bénite par l’oncle de son épouse. A son arrivée, l’arrière garde avait préféré mourir que de se rendre à Rio (chef des Huns). Charles pleura mais il était un peu tard (22H30) que l’on ne l’y prendrait plus ! Il fit décorer sa femme et enterra Roland et Durand ( élevés à titre posthume et par leur tante au rang de neveux de la nation reconnaissante) sous une dalle de béton ( armé, dur en dalle).
Alors vous êtes là encore à m’écouter… (plus bas ) bande de lâches!!!
Viens Severina, je crois que nous serions plus en sécurité avec la Noble Erwinel ! »

[Raistlin/Cara]

- Elle... elle a dit que le plus grand danger viendrait surement de derrière... je ne sais pas si... enfin... les histoires ne disent pas si on est plus à l'abri loin du danger et seule, que proche du danger aux côtés de héros de confiance...

Après avoir bafouillé ceci, Severina rougit de plus belle, et attrapa la main de Linhaendel. Elle n'aimait pas les regards lubriques de certains hommes qui les accompagnaient... elle ne savait pas pourquoi mais alors qu'elle tentait de se faire discrète, tout le monde, du moins les hommes, l'observaient avec des mines... effrayantes.
L'elfe esprit fut prise d'une crise de tremblements, due à la peur, mais également au froid. Si les quelques rares bouts de tissus cachant à peine ses formes voluptueuses étaient bien plus que suffisant dans le climat chaud de ses forêts natales, ici, dans des égouts glaciaux, ils étaient loin d'être suffisants... sans parler que les étincelles et les flammes de la ville avaient en partie brûlé le peu d'habits qu'elle portait, quelques heures plus tôt...

Fixant de son regard implorant Linhaendel, Severina lâcha alors un "allons-y", serrant la main de son amie.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

La marche du groupe continue et les conversations vont bon train, même si une certaine inquiétude transperce… Personne ne saurait dire combien de temps s’est écoulé depuis l’attaque… Et pour le moment, aucun signe de vie devant ou derrière le groupe. Alors que Linhaendel débite un flot impressionnant de paroles sous le regard protecteur de la paladine, Severina tremble comme une feuille, sous l’effet du froid, de la fatigue et de la peur. Elle attrape la main de la barde et avance en se faisant discrète. Un peu à l’écart du groupe, crysania et Kyllan discutent à l’abri des oreilles indiscrètes, manigançant sans doute quelques plans pour le futur.
Au moment ou Celerndorf s’écarte du seigneur Tharn, la silhouette de Fey qui avait disparu sans que personne ne s’en rendent compte, se dessine dans l’ombre d’un pan de mur, il s’approche du seigneur et lui murmure quelque chose à l’oreille. Celui-ci stoppe la marche, réfléchit quelques secondes et se tourne vers le reste du groupe avant de prendre la parole :
- Ecoutez-moi braves gens ! Nos éclaireurs viennent de m’annoncer que nous sommes proches de la sortie, vous pourrez tous bientôt revoir la lumière du soleil – ou la clarté de la lune… Cependant, nous ne sommes pas encore en sécurité, il se trouve que la caverne qui mène dehors est investie par une tribu de gnolls. Il est possible que nous parvenions à négocier avec eux, mais les chances sont faibles.
Il prend une courte pause avant de poursuivre :
- Je souhaiterais former une petite équipe et aller discuter avec eux, je demanderais à toutes les personnes aptes à combattre de venir avec moi, je ne forcerai personne mais notre situation est loin d’être enviable et nous aurons besoin de toute aide possible au cas où la situation tournerait mal. Que tous ceux qui se portent volontaire avance vers moi.
A peine a-t-il fini son discours que tous les gardes de la ville rescapés, Fey, Metos, Elric et Klein sont déjà derrière lui, il attend alors les réactions du reste du groupe.

[Erwinel]

A peine eut-elle entendu les paroles du Seigneur Tharn qu'Erwinel rejoignait le groupe. Les paroles étaient inutiles, aussi Erwinel se tint elle sur place, calmement, attendant les autres volontaires.

[cannonball]

Thiazzi,bien qu'affaibli par la perte de son compagnon et sa blessure récente,décida d'aider le groupe de combattants. Aussi s'avança-t-il vers le seigneur Tharn,et lance à celui-ci "Vous pouvez compter sur mon aide".

[Kzardall I-Kâzend]

Aux paroles prononcées par le seigneur Tharn, mon sang ne fait qu'un tour. Et je me dirige presqu'en même temps que l'elfe noir qui avait subit cette si grave blessure et une humaine à l'allure déterminée.
"Je serai aussi des vôtres !" je lui répond, plus déterminé que jamais.

[Linhaendel]

Ecoutez-moi braves gens ! Nos éclaireurs viennent de m’annoncer que nous sommes proches de la sortie, vous pourrez tous bientôt revoir la lumière du soleil – ou la clarté de la lune…
LA LUNE ! pardon !! tu as entendu Severina nous allons bientôt voir la Lune !

Cependant, nous ne sommes pas encore en sécurité, il se trouve que la caverne qui mène dehors est investie par une tribu de gnolls.
Des gnolls !!! je connais ça les gnolls ! mon ami pierrot, un haut clerc de la Lune, fait l’élevage de gnolls. Le gnoll a une viande infecte à manger, a le Q.I. d’une coquille d’huître vide et a un rire de grenouilles de bénitier.
Il est possible que nous parvenions à négocier avec eux, mais les chances sont faibles.
Linhaendel baisse la tête et son regard croise celui d’un enfant !
Salut toi ! tu veux du chocolat ! … tu sais p’tit gars, les chances sont faibles pour les gnolls !

Je souhaiterais former une petite équipe et aller discuter avec eux
je demanderais à toutes les personnes aptes à combattre de venir avec moi, je ne forcerai personne mais notre situation est loin d’être enviable et nous aurons besoin de toute aide possible au cas où la situation tournerait mal. Que tous ceux qui se portent volontaire avance vers moi.
Bon bah moi je veux bien aller voir le clair de Lune !
Serrant la main de Severina, Linhaendel avance lentement, au milieu de la foule (revenant de l’arrière garde), ne voulant pas brusquer son amie.

Pardon !
pardon !
excusez nous !
pardon !
vous ici ?
pardon !
(Linhaendel en profite pour écraser le pied d’un gueux qui n’arrêtait pas de regarder Severina).ah oui ! je sais ça fait mal !
pardon !
j'ai les mêmes à la maison !
bonjour !
excusez nous, on ne fait que passer !
pardon !
non désolé je ne fume pas !
pardon !
non ? c’est vrai !
pardon ! …En arrivant sur la petite équipe, Linhaendel est heureuse de retrouver Metos et Erwinel !
Bonjour, bonjour !

[mavina (crysania)]

Ma discussion avec l'elfe noir est intérrompue par un éclaireur qui demande des volontaires pour taper du gnoll...

Chic alors !
J'en suis ! Dis-je d'une voix sombre.

Tu viens ? Nous continuerons notre discussion plus tard ! Fais-je à l'elfe noir.

[Kyllan]

*Rejoins le groupe en frôlant Crysania au passage*

[Raistlin/Cara]

Morte de trouille à l'idée de rencontrer des gnolls, Severina ne trouve malheureusement pas non plus le courage de lâcher la main de son amie, la seule chose rassurante en ces sombres heures.
L'idée de revoir la lune l'enchante cependant également. Que ce soit dans des égouts ou dans de quelconques tunnels, elle n'aimait pas l'exiguïté qui y régnait. Sans pour autant être claustrophobe, elle préférait de loin les milieux ouverts, afin de pouvoir apercevoir le ciel et d'être libre de ses mouvements, sans constructions pour gâcher le paysage.

Une fois arrivée à l'avant, elle arrive à faire un maigre sourire à Erwinel avant de renfoncer sa tête dans son corps, et de se cacher au mieux derrière l'assurance de Linhaendel.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

La déclaration du seigneur Tharn ne semble laisser personne indifférent. Quelque soient leurs motivations, les aventuriers répondent tous présents à l’appel, même le demi-orc qui se tenait silencieux depuis leur départ dans les cavernes. Inspirés par le courage des aventuriers, certaines personnes parmi le petit groupe de réfugié décident elles aussi de se joindre au seigneur, ainsi trois autres personnes ressemblant plus à des marchands qu’à des guerriers s’avancent en silence, l’air pétrifié.
Tharn affiche un léger sourire et lance simplement, avant de se mettre en route :
-Allons-y…

Après un bon quart d’heure de marche, le tunnel s’élargit de plus en plus et des glapissements résonnent dans l’air. Ils semblent venir de la large caverne que le groupe peut apercevoir au loin. En regardant de plus prêt, on peut distinguer des lumières vacillantes et des ombres mouvantes indiquant une activité vivante. Le seigneur de la ville, s’arrête et chuchote :
-Klein, Elric et moi-même allons passer devant, et essayer de négocier avec eux, suivez nous tous à bonne distance, vous pourrez vous cacher du regard des gnolls derrière les rochers et vous tenir prêt à intervenir en cas de problème. Que personne, je répète personne, n’attaque avant que la situation n’ait dégénérée, le sang a assez coulé pour aujourd’hui…
Après ces instructions, Tharn avance doucement vers la caverne, les bras ouvert, paumes vers le ciel, en signe de paix. Il pénètre dans la caverne d’une hauteur impressionnante, on peut apercevoir la clarté de la lune au travers plusieurs trous dans ce qui sert de plafond, des groupes de gnolls sont éparpillés autour d’une petite dizaine de feux de camp, occupant tout l’espace disponible, ils mangent bruyamment, se chamaillent ou aboient quelque chose dans un langage incompréhensible. Lorsque le seigneur Tharn entre dans la caverne, tout bruit cesse immédiatement et tous les regards se tournent vers lui. Alors qu’un vieux gnoll boitillant s’approche de lui, tous les autres gnolls ramassent leur immense hallebarde et jettent un regard mauvais à l’humain. Près de 20 gnolls entourent à présent le petit groupe de diplomate.

Alors qu’Elric s’adresse au vieux gnoll dans le même langage étrange que le groupe a entendu auparavant, un cri de rage retentit depuis le tunnel et résonne dans la grotte, avant que quiconque n’ait pu réagir, une lame de hache ressort de la poitrine du gnoll le plus prêt de l’entré, derrière lui apparait Gröll, les yeux écarquillés et un rictus mauvais sur le visage, qui visiblement a cédé à la pression, les gnolls se mettent à hurler et une dizaine de carreaux d’arbalète traversent la grotte depuis les parois pour s’abattre sur l’orc et son infortunée victime… Une demi seconde plus tard, les gnolls present dans la grotte passent a l'action et se ruent sur le seigneur Tharn et ses deux acolytes

[cannonball]

Abruti d'orc!
Sans sa stupide intervention, nous aurions pu nous en sortir sans faire de victimes!
Je tente de lancer le sort "Flammes" sur l'un des gnolls qui attaquent Tharn*, puis je me lance dans la masse de gnolls, mon baton à la main, et en priant pour ne pas mourir, et en attaquant le premier gnoll à ma portée.
Puis je crie à Tharn:
"On ne s'en sortira pas si l'on ne s'entraide pas, je me permets donc de vous aider!"

*Si je ne peux pas lancer le sort "Flammes", j'attaque directement avec mon baton

[Kzardall I-Kâzend]

"Mais c'est pas possible...!!" maugrée je avec exaspération alors que je vois l'orc se faire empaler par une dizaine de carreux d'arbalète.
Visiblement nos chances de négocier quoique ce soit avec ces bestioles sont réduites à néant par l'intervention de cet imbécile...

Je vois alors à ma grande horreur que tout les gnolls présent dans la salle se jetent vers Tharn et ses gardes.
Je saisit alors mon arc et, après avoir à peine pris le temps de viser, décoche une flèche sur le premier gnoll qui est dans ma ligne de mire.
Que j'ai touché ma cible ou non, je le range précipitament, crampone mon écu à mon bras gauche, dégaine mon épée et fonce en hurlant dans la grotte, prêt à en découdre avec ces créatures dégénérées.

[Linhaendel]

Ah le brave Démi-Orc ! il ne fait jamais les choses à moitié !un personnage entier, cela plaisait beaucoup à Linhaendel !
Linhaendel n'avait pas la force d'un seigneur Thran ni la puissance d'un Elric, sa place sera donc près de Severina !
Linhaendel décida de prendre sa voix la plus grave en comptant sur l'écho de la caverne pour l'amplifier et se mit à chanter pour soutenir ses compagnons contre les gnolls !

Dori me
Interimo adepare dori me
Ameno
Ameno latire
Latire-mo
Dori me

Ameno
Omemare imperavi ameno
Direme
Direme matiro
Matire-mo
Ameno

Omemare imperavi emulari
...

[Raistlin/Cara]

Effrayée, Severina eut à nouveau le réflexe de se reculer au maximum, tout en tentant de se faire la plus petite possible.

Non, pas encore des morts, pitié ! Pourquoi devons-nous encore nous battre, pourquoi cet orc a t-il donc attaqué alors que nous aurions pu être pacifiques ?

Animée par une colère muée par l'incompréhension, Severina se ravança afin d'être non pas derrière Linhaendel, mais fière et droite à ses côtés. D'une voix sinistre et grave, elle incanta alors un projectile magique, visant l'un des gnolls, avec l'espoir d'empêcher la mort d'un autre de ses camarades d'infortune.

[Kyllan]

Rhaa mais c'est pas vrai !!! Abruti d'orc !!
*Recule dans les ombres en maudissant d'abord l'orc, puis l'elfe-pie qui continue de chanter et enfin le groupe en général (discrétion)*
* Contourne la joyeuse mêlée centrale, à la recherche de proies faciles et isolées*

[mavina (crysania)]

Tiens, l'orc, ca faisait longtemps, et en plus il se fait décorer par des carreaux! Magnifiques !

Je sens mon corps frémir, je sens l'adrénaline monter en moi, mes mains se crispent et se resserent, mes yeux brillent d'une lueur noire, je veux tout détruire, je veux bruler les corps de toutes ces insignifiantes bêtes qui ont osé ne serait-ce que nous insulter de leur présence, je veux les détruire!

Je vois l'elfe noir foncer dans le tas avec son baton sans réfléchir, je vois qu'il n'a toujours pas compris.

Mon regard se fait noir, et, activant ma capacité "déluge de coups", j'attaque le premier gnoll que je peux atteindre, sans toutefois me mettre au milieu comme cet abruti d'elfe noir.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Klein est le premier à réagir à l’assaut des gnolls, vif comme l’éclair, il dégaine son épée et tranche le bras droit du gnoll le plus proche d’un seul geste, il enchaine immédiatement dans une gerbe de sang et plante son épée dans le torse de sa pauvre victime qui n’a pas eu le temps de réaliser qu’elle était morte. Presque aussi rapide, le seigneur Tharn incante quelques mots d’une voix sourde et puissante puis sort son épée soudain nimbée d’un éclat bleue azure, il se rue alors sur le gnoll à sa gauche et tente de le pourfendre du haut vers le bas mais celui-ci a anticipé la manœuvre du seigneur et fait un bon de côté, qui ne lui permet que de prendre une deuxième attaque de taille qui lui ouvre profondément l’intestin. L’animal regarde avec horreur son sang couler à flot, ce qui l’empêche de voir venir la troisième attaque qui fait voler sa tête. Profitant de l’agitation, Elric recule derrière ses deux compagnons et incante à son tour, une colonne de feu d’une petite dizaine de mètres de diamètres s’abat alors sur le groupe de gnolls situés à sa droite, carbonisant les quatre monstres instantanément !
Le vieux shaman gnoll recule lui aussi et incante en agitant son bâton, un tourbillon se forme devant lui et se fait de plus en plus violent avant de disparaitre, laissant la place à un énorme loup aux yeux rouges. Celui-ci se jette sur Klein, mais l’agile guerrier l’esquive sans problème, ainsi que le gnoll qui le chargeait, hallebarde en avant. Le deuxième gnoll qui accompagnait le shaman essaye quand à lui d’ôter la tête du seigneur Tharn, mais sa Hallebarde est facilement bloquée par l’épée flamboyante du seigneur.
Thiazzi agit à son tour et jette le sort flammes sur le gnoll qui attaque Tharn, un jet de flamme surgit de sa main et se dirige droit sur le gnoll, frôlant le seigneur. Le feu s’écrase sur sa poitrine, le brulant légèrement, il prend alors son bâton et fonce sur le même animal, essayant de lui asséner son plus terrible coup de bâton. Le coup ricoche sur l’armure de cuir du monstre, ne lui infligeant aucun dommage. La flèche du rodeur n’a pas beaucoup plus de chance et file à travers la grotte, sans rencontrer de chair dans laquelle se loger. Il saisit alors son écu et son épée et se rue à la suite de l’elfe noir, attaquant le même monstre, son coup d’épée a plus de succès, la lame vient se loger dans son épaule le blessant gravement.
Décidant que la meilleure façon de supporter ses compagnons réside dans le chant, Linhaendel entonne d’une voix claire :
« Dori me
Interimo adepare dori me
Ameno
Ameno latire
Latire-mo
Dori me

Ameno
Omemare imperavi ameno
Direme
Direme matiro
Matire-mo
Ameno

Omemare imperavi emulari »
Le chant est entendu par tous et redonne du baume au cœur de tous les aventuriers, qui redoublent d’efforts Ils peuvent donc affronter l’attaque des deux gnolls situés à gauche, à l’entrée de la caverne qui se ruent sur Celerndorf et Thiazzi, la hallebarde devant. Les deux attaques manquent leur cible et les énormes hallebardes ne tranchent que l’air.
Avec une synchronisation peu familière chez les gnolls, le son de plusieurs arbalètes résonne dans la grotte, heureusement, le chaos ambiant empêche les tireurs de viser correctement et aucun carreau ne touche sa cible.
Erwinel ne peut pas supporter plus longtemps de voir ses amis se battre, après une courte prière, elle se lance à son tour dans la mêlée, visant l’assaillant de Celerndorf. Cependant la précision n’est pas au rendez-vous et l’attaque manque largement sa cible, elle se ressaisit vite et se prépare à la suite de la bataille
Severina entre à son tour dans la bataille, elle prend son courage à deux mains et se place à côté de sa nouvelle amie, elle incante et jette un projectile magique vers le gnoll en face d’elle, qui s’écrase en plein sur son museau, le défigurant à vie et lui infligeant de lourds dommages. Kyllan, en accord avec la légendaire prudence des elfes noirs se met un peu en retrait et remarque un passage menant à une corniche, de laquelle tirent probablement les arbalétriers, il escalade agilement la paroi et tente d’attaquer par derrière le premier arbalétrier, cependant le gnoll le repère du coin de l’œil et a juste le temps de se retourner avant que la rapière du roublard ne s’enfonce profondément dans sa poitrine. Kyllan la retire dans une gerbe de sang et se prépare à combattre.
Plus bas dans la grotte, crysania se jette à son tour dans la bataille, matraquant de ses poings le gnoll le plus proche. Le monstre esquive habilement habillement le premier coup, mais l’humaine peut entendre le craquement des côtes de la bête lors de sa deuxième attaque. Le gnoll pousse alors un hurlement de douleur, vacille puis se ressaisit avec un regard fou de rage sous le regard amusé de la moine…
Le groupe de gnolls à gauche de l’entrée de la caverne se sépare, deux gnolls se positionnent entre leur shaman et Thiazzi et l’attaquent simultanément de leur hallebarde, mais l’habile druide esquive sans problème les deux attaques, le troisième quand à lui se dirige droit sur la moine qui vient de blesser son compagnon et balance son arme dans un énorme arc de cercle abandonnant toute précision… Encore moins fortuné que ses prédécesseurs, la bête manque complètement son coup et son arme lui échappe des mains, allant se planter dans le sol, a quelques mètres des pieds de Severina.
Simultanément, les trois gnolls restants, au fond à droite de la caverne passent à leur tour à l’action et se ruent tous les trois sur Klein, espérant pouvoir combiner leur force pour défaire le guerrier. Celui-ci évite les deux premières attaques avec une facilité déconcertante, mais la troisième hallebarde vient s’enfoncer dans son dos, lui infligeant une sévère blessure malgré son armure.
Les trois citoyens ayant décidés d’accompagner le groupe se tenait immobiles et muets jusqu’à présent, pétrifié par la peur. Le carnage qui se déroule devant eux devient insupportable, alors que l’un d’entre eux se recroqueville derrière un rocher, les deux tentent de s’enfuir en hurlant dans la direction d’où ils sont arrivés. Métos, qui fermait la marche avec les trois gardes, tente de les convaincre de ne pas partir en courant derrière eux:
- Ne partez pas, vos chances de survivre seuls dans ces cavernes sont quasiment nulles, vous ne trouverez pas votre chemin jusqu'au reste du groupe et vous risquez de tomber sur un autre groupe de gnolls, ou pire encore...
Mais ses avertissements ne sont pas entendus et la peur semblant donner des ailes, les deux personnes disparaissent bientôt dans la pénombre. Baissant les bras d'un air désolé, Métos les abandonne à leur sort et retourne vers l'entrée de la caverne en s'adressant aux gardes :
- Je doute qu'on puisse encore faire quelquechose pour eux... Allons donc aider nos compagnons... Bien qu'ils ne semblent pas avoir réellement besoin de nous.
Sur ces mots, ils se jettent à leur tour dans la mélée.

[Kzardall I-Kâzend]

Malgré le fait que Klein soit en grosse difficulté, je laisse Tharn s'occuper de ses agresseurs, ce dernier étant plus près d'eux.
Je préfère m'attaquer aux deux gnolls qui sont tout proches de Thiazzy.

Encore sous l'effet euphorisant du chant de Lihaendel et de la vue du sang de l'un de ces monstres sur la lame de mon épée, je m'avance avec un étrange sourire vers mes deux adversaires...

[cannonball]

Voyant Celerndorf s'approcher des deux gnolls qui me menacent, je lance à celui-ci "Un chacun, mais attention au shaman!" avec un grand sourire de druide ([HRP]D'ou je sors cette expression, moi ?[/HRP]), puis j'attaque un des deux bestiaux avec mon baton.

[Sid]

Linhaendel ne sait pas pourquoi elle chante cette chanson qui ne veut pas dire grand chose !
mais tout le monde semble l'apprécier ! enfin personne ne lui demande de se taire !
...Omemare imperavi emulari

Ameno
Amenobore
Ameno dori me
Ameno dori me
Ameno dom...

Linhaendel entend des bruits derrière Severina et au dessus de sa tête ! tout en continuant de chanter, Linhaendel trace dans l'air un 8 ( signe d’inquiétude ) avec la pointe de son épée et essaye de découvrir l’origine de ces bruits !

...
Dori me reo
Dori me am

Ameno
Amenobore
Ameno dori me
Ameno dori me
Ameno dom...

En tournant la tête, Linhaendel est heureuse de voir son amie prendre le dessus sur les événements !
La colère rend Severina encore plus jolie et Linhaendel se sent moins inquiète et trace dans l’air un Z avec la pointe de son épée !