[L'invasion]c'est parti!

[mavina (crysania)]

Je souris, le regard noir, quand j'entends les cotes du gnoll craquer sous mon poing.

J'enchaine donc, dans ma sombre fureur. Je suis survoltée, je ne peux plus contenir mes coups! Mes poings se font brulants, ma respiration accélère, mon adrénaline monte.

Toujours en ayant le déluge de coups activé, je frappe en premier le gnoll que j'ai touché, pour essayer de l'achever. Ensuite, Si j'achève le premier, je me retourne pour frapper avec un coup étourdissant le deuxième qui a essayé, en vain, de me frapper.Sinon, j'effectue une deuxième attaque sans coup étourdissant sur le premier pour essayer de nouveau de l'achever.

[Erwinel]

La bataille commence à s'envenimer et j'ai raté mon premier coup... voilà qui commence bien. Mes yeux se posent sur le corps criblé de carreaux du demi-orc :

Paix à son âme. Je n'ai pas le temps de me charger de lui pour le moment, mais je jure de lui offrir des funérailles décentes dès ce combat achevé.

Celendorf semble vouloir aller prêter main forte à Thiazzi, avec un peu de chance, cela me permettra de passer vers le shaman. Si j'estime pouvoir l'atteindre à travers la mêlée, je m'y risque et utilise mon châtiment du mal sur lui.
Si l'accès est bloqué par un gnoll, je tente une attaque à l'épée.

[Kyllan]

- Toujours vivant ? Plus pour longtemps !
*J'attaque le gnoll. Si je l'achève je le fouille sommairement puis je continue discrètement (Déplacement silencieux + Discrétion) vers le gnoll suivant en essayant de le surprendre*

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Le seigneur Tharn, pris d’une frénésie guerrière à faire frémir le plus endurci des gnolls, se rue à la rescousse de son compagnon d’armes attaqué par le loup. L’animal n’a pas le temps de voir la première attaque venir, qui lui déboite l’épaule, qu’il est déjà littéralement tranché en deux par l’enchainement du paladin. Tharn continue sa course dans une gerbe de sang et empale le gnoll le plus proche, qui meurt sur le coup. Klein esquisse un petit sourire en voyant son employeur trancher les monstres plus rapidement que lui et redouble d’effort, virevoltant de droite à gauche, il tranche le bras du gnoll le plus proche du shaman, entaille profondément le torse de celui en face de lui et achève le premier d’un revers de l’épée. Le gnoll blessé, tordu de douleur, essaye tout de même de contre-attaquer mais sa hallebarde est bien trop lente pour le guerrier qui d’un bon en arrière esquive facilement l’attaque, se mettant du même coup hors de porté du dernier gnoll.
Sans se soucier de cette scène, les deux arbalétriers les plus au fond tirent dans le groupe de combattant, un des carreaux effleure la joue de Thiazzi, laissant perler un filet de sang, l’autre se plante à 30 centimètre du pied de Celerndorf.
Elric profite du passage que lui ont offert ses compagnons pour se précipiter sur le shaman gnoll, évitant habillement de trébucher sur les cadavres, et lance sa main vers la poitrine du monstre qui l’évite sans problème d’un bon de côté. Le prêtre réagit avec une rapidité surprenante pour son grand âge et pose sa main gauche sur la tête de son ennemi avant d’incanter quelques paroles d’une voix sourde et incompréhensible. La tête du gnoll commence à fumer avant de s’embraser spontanément la seconde d’après.
Alors que la situation s’envenimait du côté des apprentis aventuriers, Metos entre à son tour dans la bataille, il charge les gnolls les plus à gauche en poussant un rugissement guerrier. Le tavernier, qui n’est pas encombré par une lourde armure part bien avant les soldats et sa charge semble inarrêtable. Si le deuxième gnoll à la présence d’esprit de s’écarter, deux de ses camarades n’ont pas autant de chance et se retrouvent coupés en deux au niveau du bassin. Leurs jambes restant quelques secondes debout avant de s’effondrer dans un geyser de sang.
Thiazzi et Celerndorf attaquent à leur tour leurs adversaires, mais leurs gestes sont las et leurs attaques ne brassent que l’air qui les sépare des monstres, ils parviennent cependant à éviter la riposte de leurs ennemis qui se gênent et ne parviennent pas à être efficaces. Encore sous une fureur noire, crysania envoie son coup de poing le plus redoutable dans la tempe du gnoll qu’elle vient de blesser, celui-ci titube quelques secondes avant de s’effondrer, inerte. Elle se retourne et tente d’enchainer sur le gnoll à côté d’elle (ne trouvant plus que la partie inférieure du corps de celui dont elle voulait se venger), mais son poing ne fait que glisser sur l’armure de cuir bouilli de la bête. Erwinel observe quelques secondes la situation, en particulier le shaman, prête à fondre dessus. Cependant au moment ou elle pensait pouvoir l’attaquer, elle est devancée par Elric, qui supprime le vieux gnoll en une fraction de seconde, elle se retourne donc et attaque le gnoll le plus proche d’un violent revers de l’épée, la lame rebondit sur l’armure du monstre qui la regarde d’un air noir. Celui-ci tente de reproduire l’exploit du tavernier, visant à la fois les hanches de crysania et de la paladine, mais les deux femmes esquivent d’un geste habile.
Le gnoll qu’a attaqué Kyllan réagit plus vite que prévu et son attaque et celle de l’elfe noir ne font que s’entrechoquer. Les deux adversaires appuient sur leur lame, en espérant trancher l’autre et la force est en la faveur du gnoll, mais l’elfe noir parvient à dévier l’épée longue qui vient frapper la paroi rocheuse à côté de lui. Le dernier arbalétrier apparait alors derrière son camarade, il jette son arbalète, et sort son épée avant de se précipiter vers le roublard. L’attaque, prévisible au possible n’inquiète même pas Kyllan, qui l’évite facilement
C’est ce moment que choisit Fey pour apparaitre de l’autre côté de la corniche, derrière un autre arbalétrier, et lui trancher la gorge. Alertés par la mort de leur compagnon d’infortune, les deux gnolls embusqués les plus proches font feu sur le voleur mais il s’élance vers ses prochaines cibles, sans être inquiété par les carreaux.
Alors que Linhaendel continue de chanter, tout en dessinant dans les airs avec son épée, Severina poursuit son assaut magique, un deuxième projectile magique vient s’écraser sur la tête du gnoll que combat Erwinel, explosant sur son visage. Le monstre, lache sa hallebarde, attrape sa tête ensanglantée des deux mains et glapît quelques secondes avant de s’effondrer par terre, mort.
Les trois soldats ont choisi de se séparer, le premier va porter secours à Klein et attaque l’un des gnolls survivants de son énorme épée, le premier coup est évité par un geste désespéré du monstre, qui ne lui permet pas de réagir lorsque l’arme revient vers lui. La lame s’enfonce de 10 centimètre dans les côtes du monstre qui, hurlant de douleur, parvient tout de même à se ressaisir. Le deuxième garde fonce tout droit, entre un gnoll et le seigneur Tharn et tente d’abréger la vie du monstre. Ces attaques ne parviennent pas à toucher le monstre qui pare habilement avec sa lourde hallebarde. Le troisième soldat quant à lui, après avoir péniblement escaladé la paroi, vient assister Kyllan et tranche de haut en bas d’un coup magistral le gnoll le plus proche.

[Kzardall I-Kâzend]

Je prends juste le temps de regarder autour de moi et constate le carnage que nos guides ont laissé sur leur passage.
"Visiblement nous sommes du bon coté de la barrière..." me dis-je en mon for intérieur.
Il reste cependant un gnoll en face de moi et me précipite dessus prêt à en finir avec ces bestioles !!

*Si mon attaque réussit à tuer ou maitriser du premier coup le gnoll en question, je repart aussitôt prêter main-forte à Thiazzy avec le gnoll qui lui fait face.*

[cannonball]

Voyant Celerndorf attaquer le gnoll, je lance sur lui le sort Stimulant, tout en lui disant "Pour plus de prudence !"
Puis j'attaque le gnoll qui est devant moi d'un coup de baton.

*Si j'arrive à mettre le gnoll hors d'état de nuire ou que celui-ci meurt avant mon attaque, je viens aider Celerndorf. Si celui-ci a déja vaincu son adversaire, je me mets du mieux que je peux hors du champ de vision des tireurs.*

[Erwinel]

Dépassée de vitesse par Elric, je vois le shaman se faire réduire en cendres... décidément, ce prêtre n'est pas un amateur.

Le plus grand danger étant anéanti et n'étant plus enfermée dans la mêlée, je décidé de m'occuper des tireurs. Me protégeant de mon bouclier, je me lancer vers la paroi nord-ouest pour m'occuper des arbalétriers et couvrir Thiazzi et Celendorf de leurs tirs.

Tout en avançant, je cherche le moyen le plus rapide d'atteindre mes cibles sans avoir à escalader la paroi, il doit bien y avoir un escalier ou une échelle quelquepart...
Si je ne trouve rien, j'escalade tout de meme la paroi, et une fois arrivée en haut, j'utilise mon châtiment du mal sur le gnoll le plus près de moi.

[Linhaendel]

Linhaendel chante fortissimo pour ne pas se faire submerger par ses émotions !
« c’est une véritable boucherie ! les pauvres bêtes ! »
Linhaendel pense à Gröll ! ses yeux azur s’embrument !
« stupides gnolls ! stupides, stupides, stupides ! »
Linhaendel tourne la tête vers Severina qui s’applique à lancer des sorts sur ces stupides bestioles ! une larme de lune perle à son œil ! Le temps d’un instant Linhaendel oublie la violence du combat et d’un revers de main essuie l’aveu de ses pensées !
Linhaendel entend des bruits d’échauffourées sur le pourtour de la caverne en hauteur ! un nouveau danger semble provenir de ces promontoires surplombant l’arène sanglante !
Linhaendel essaye alors de soustraire à la vue d’un tireur stupide Severina en virevoltant de dextre à gauche et de gauche maladroite autour de son amie !

[mavina (crysania)]

Il tombe comme une mouche... hyahaha! J'esquive une attaque d'un gnoll... Je le fixe en esquivant. Mes poings se ferment, mon bassin se recule pour esquiver. Je suis folle de rage, je vais le réduire en miettes !

Je fonce sur le gnoll qui m'a attaqué et l'attaque grâce à mon déluge de coups.
Si il moeurs lors de mon premier coup (on peut toujours réver), je fonce sur le gnoll le plus proche qui n'a encore personne sur le dos et l'attaqie, sinon, je me dirige vers les arbalétriers qui n'ont encore personne pour les attaquer.

[Kyllan]

*Je remercie le garde d'un signe de tête et continu d'attaquer le gnoll*
*Si le combat se termine, je fouille les deux gnolls puis continue vers les deux autres*
*Si les deux autres sont déjà occupés, je pénètre dans la petite caverne situé sur le coté, cherche des pièges (compétence raciale) puis la fouille*

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Toujours dans leur fureur sanguinaire Tharn et Klein achèvent leur dernier adversaire dans un geste négligeant et se retournent pour observer le reste de la bataille. De l’autre côté de la grotte, ils voient Celerndorf asséner un terrible coup d’épée au gnoll en face de lui, celui-ci essaye de parer le coup avec le manche de sa hallebarde, mais la lame le traverse pour aller s’enfoncer profondément dans le torse du gnoll, le laissant agonisant. Celui-ci, dans un geste désespéré, lance sa hallebarde vers le rodeur, réussissant à lui entailler profondément la cuisse. A côté de lui, le druide lance un sort sur son compagnon, le revitalisant, avant d’essayer (en vain) une large attaque de son bâton. Le monstre riposte en le chargeant avec sa hallebarde, ne lui laissant le temps que d’éviter le coup fatal, la hallebarde traverse le ventre de Thiazzi, répandant le sang sur le sol. Crysania, toujours sous l’euphorie du combat, continue de distribuer les coups de poings, elle s’attaque au même gnoll que Thiazzi, mais avec un plus de succès : après avoir esquivé la première attaque, le monstre encaisse le poing de l’humaine sur le visage, il recule, quelque peu sonné et le museau ensanglanté, arrachant son arme du ventre de l’elfe noir dans une nouvelle gerbe de sang.
Un peu plus en retrait, Linhaendel continue de danser autour de Severina, qui incante un nouveau projectile magique qui s’écrase dans le dos du gnoll aux prises avec crysania et Thiazzi, le blessant légèrement. Metos et le soldat le plus proches achèvent les deux derniers gnolls en bas d’un puissant et unique coup avant de venir porter secours à l’infortuné elfe noir qui se retrouve une fois de plus en bien mauvaise posture.
Sur la corniche Kyllan et le garde prennent facilement l’avantage sur le gnoll, grâce à leur supériorité numérique. Le premier attaque le monstre sur la droite, lui ouvrant sévèrement le bras et lui faisant lâcher son arme, ce dont profite le garde pour achever le monstre d’un estoc. Alors que le garde avance vers les arbalétriers restants, Kyllan fouille les deux cadavres, mais n’y trouve pas grand-chose de valeur, à part deux portions de viande séchée, les deux épées longues et émoussée qu’ils portaient, les deux arbalètes, deux armures de cuir bouillies aux proportions étranges, 15 carreaux d’arbalète et des crânes de divers petits animaux. Après avoir pris ce qui l’intéresse, il rejoint le garde.
De l’autre côté de la corniche, Fey court vers les deux gnolls en face de lui, esquivant agilement leur trait d’arbalète et charge le premier monstre. Celui-ci pare avec son arbalète, avant de jeter son arme et de dégainer son épée longue. Fatale erreur qui permet au voleur de lui trancher la gorge avant qu’il n’ait pu accomplir son action.
Faute d’adversaire en bas, Erwinel décide de monter sur la corniche, elle trouve un passage à la pente difficile mais praticable près de la sortie de la grotte et s’y dirige, couverte par son bouclier, qui lui permet de parer les deux carreaux des gnolls, et se retrouve rapidement sur la corniche. Elle attaque alors le gnoll en invoquant le pouvoir de son dieu sur son arme, mais ne parvient pas à percer l’armure de cuir bouillie du monstre. Elle est suivie par le dernier soldat en armure lourde, qui peine bien plus à grimper la pente et arrive quelques temps après elle.
Elric, toujours aussi calme incante à nouveaux de sa voix sourde que les aventuriers commencent à connaitre. Un rayon de lumière aveuglante part alors de sa main tendu et va transpercer le corps du dernier arbalétrier, lui laissant un trou fumant à la place du cœur. Celui-ci s’écroule instantanément.

[Linhaendel]

Linhaendel à la fin d’une dernière pirouette trouve la grotte étrangement silencieuse !
Il y avait bien encore quelques cris ( de pauvres sadiques qui s’acharnaient sur les malheureux locataires de ce loft souterrain et malsain !) qui se mêlaient aux râles gnolls, mais dans l’ensemble la situation semblait convenir au seigneur Thran !
Linhaendel se précipite alors sur le druide ensanglanté ! il est nu sous sa peau de bête à poils !!! Linhaendel demande si un soigneur peut s’occuper de cet elfe suicidaire et naturiste !
« je crois qu’il ne se sent pas bien, il y a un médecin parmi vous ? »
Linhaendel, sans attendre la réponse, fonce sur le pauvre demi-Orc ! lui aussi ne se sent plus et ça depuis bien longtemps! les héros sont tous les mêmes, ils ne se sentent plus au moment des combats ! enfin là, Gröll, en plus, ne respire plus, et même pour un demi-Orc ce n’est pas normal, la raison semble donc plus physiologie que psychologique !
Linhaendel essaye de s’approcher pour écouter son cœur et voir s’il respire, mais son thorax criblé de flèches gnolls rend toutes familiarités impossibles !
« je ne connais rien à l’anatomie Orc ! mais normalement on peut le soigner aussi ? c’est robuste un Orc, même démi ! hein ? »
les larmes a l’œil, Linhaendel implore l’assemblée !
« il est des nôtres, il a bu son verre comme nous autres, chez Métos !, on ne peut pas le laisser ici, même s’il a fait une bêtise, après tout personne n’en est mort ! …Thiazzy s’en remettra, c’est un habitué, il meurt tout le temps et il est encore avec nous, même quand il fait n’importe quoi ! c’est même ce qui le rend si charmant ! hein ?... »Linhaendel s’agenouille, talons aux fesses, et place la tête de Gröll sur ses genoux !

[mavina (crysania)]

Je finis mes attaques, et je remarque que plus personne n'est debout du coté des gnoll autour de moi, à part sur les corniches, mais ils sont occupés.

Bien, je vais peut-être pouvoir récupérer des choses dans tout ce bordel

Je regarde donc autour de moi, utilisant mon don de fouille pour trouver un quelconque objet. Quoi que je trouve, je le prends, et si quelqu'un veut s'en emparer avant moi, j'utilise ma compétence intimidation en l'interpellant pour l'en empécher.

[Erwinel]

Si l'armure est trop épaisse, il faut viser ailleurs...

Je cherche rapidement un endroit découvert dans l'armure du gnoll, jetant un coup d'oeil rapide autour des articulations du genou et des épaules.
Si je vois une faille par là, je frappe, si je trouve une autre faille (on ne sait jamais), j'en profite.
Dans le cas où je ne parviens pas à trouver de faille dans l'armure du gnoll, je tente alors de passer en force en refrappant au même endroit que le coup précédent.

[Kzardall I-Kâzend]

Je me relève tant bien que mal après le coup qui m'a été porté et constate que le sort de Thiazzy m'a été d'une aide précieuse.
Il ne me restera plus qu'a ressortir ma panoplie de couturière afin de réparer de nouveau ma tenue qui a connu des jours meilleurs...

Je regarde autour de moi et voit l'elfe en train de pleurer sur le corps de l'imbécile qui a provoqué tout ce tapage.
Si seulement il était resté à sa place...
Vu l'état dans lequel il est, je doute fort qu'il joue de nouveau de la hache...
Je préfère me détourner de ses suppliques, ne pouvant rien pour les morts. A moins qu'il ne faille lui creuser une tombe...

J'aperçois alors Thiazzy étalé à terre dans une mare de sang !
Metos et un soldat sont déjà en train de s'occuper de lui et il semble respirer encore. Je me précipite et m'agenouille au pied de l'elfe noir.
*Utilise la compétence Premier Secours * si cela m'est permis.

[Kyllan]

*Ramasse l'une des arbalètes et les carreaux*
Ça pourra toujours être utile plus tard...
*Se retiens de glousser en voyant l'autre elfe noir se faire (une fois de plus) empaler par le gnoll*
Bien bien... Avec l'orc cela nous fais un boulet de moins...
*S'avisant qu'il ne reste plus qu'un gnoll, laisse les autres s'en occuper et me dirige vers la petite caverne située sur le coté*
*Entre prudemment en cherchant des pièges, puis fouille la pièce*

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Alors que les personnes au milieu de la grotte peuvent enfin souffler, le combat n’est pas fini pour tout le monde, au nord, Erwinel observe attentivement le gnoll et son armure avant de passer a l’attaque en visant les articulations. Son attaque est trop bien préparée pour le monstre et la lame s’enfonce profondément dans son torse, juste en dessous de l’épaule gauche. La paladine ne parvient pas à retirer son arme a temps pour éviter le coup vengeur de l’animal, qui déchire son armure pour lui lacérer profondément le torse. Elle s’écroule dans une gerbe de sang au moment où le soldat qui la suivait achève le gnoll, avant de se précipiter sur elle pour lui porter secours. Il enlève précipitamment son plastron et déchire sa tunique pour stopper l’hémorragie de la demi-elfe à moitié inconsciente, puis se tourne vers le prêtre en hurlant :
« Nous avons besoin d’aide par ici ! »
De l’autre côté de la corniche, le combat est moins dramatique, Fey évite facilement les attaques du gnoll tout en le piquant de son épée courte, il attend que le monstre attaque d’un mouvement ample pour passer derrière lui et faire voler sa tête d’un revers de la lame.
Linhaendel ne supporte pas la vue de ses compagnons blessés et court de l’un à l’autre en pleurant et en implorant de l’aide. Plus pragmatique, Celerndorf s’agenouille auprès de l’elfe noir et tente de stabiliser ses blessures à l’aide de ses compétences en premier secours. Grâce à l’aide du rodeur, le druide reprend conscience dans un gémissement de douleur…
Entendant les suppliques de ces compagnons, et alors qu’un calme presque irréel s’installe sur la scène, Elric annonce :
« Regroupez tous les blessés au milieu de la pièce, je vais les soigner et ressusciter ce malheureux orc »
Le seigneur Tharn le coupe sur un ton qui ne souffre aucune discussion :
« Soigne les deux blessés Elric, mais tu ne ressusciteras personne, si nous sommes dans cette situation, c’est entièrement sa faute, son cadavre est à sa place ici, au milieux des autres animaux! Fais ton office et mettons nous en route… Fey, Klein suivez moi, nous allons vérifier que les alentours de la grotte sont sans danger.»
Sans même attendre la réponse des intéressés, il tourne les talons et se dirige la sortie, immédiatement suivi par le guerrier et le voleur qui les rejoint d’un bon agile.
Le soldat qui accompagnait Kyllan, rejoint son compagnon plus au nord et l’aide à descendre la paladine au centre de la grotte, devant le prêtre. Celui-ci incante rapidement quelques paroles et, à nouveaux, une lueur bleue s’échappe de ses mains pour entrer dans le corps des deux blessés, ressouder leur os et refermer leurs blessures, ne laissant plus qu’une énorme cicatrice. Les deux aventuriers se lèvent péniblement mais indemnes.
Profitant de l’agitation ambiante, crysania se désintéresse de la scène pour fouiller les cadavres aux alentours, une fois encore, les gnolls ne disposent pas de possessions intéressantes, elle trouve une quinzaine de hallebardes, d’armures de cuir bouilli diverses et de mauvaise qualité et, en tout, une petite trentaine de crânes d’animaux, principalement de rats et de chats. Seul le Shaman est équipé différemment, il possède une tunique faite dans une étoffe grossière et un long bâton en bois.
De son côté, Kyllan ramasse une arbalète et ses carreaux et se faufile dans la petite alcôve près de lui, en cherchant des pièges. Il n’en trouve aucun et fouille tranquillement la pièce. La pièce est très légèrement mieux remplie que le reste de la caverne, sur le sol, on peut voir un lit grossier fait de paille et d’herbe séchée, a coté, posé sur une table en pierre, il trouve un livre portant le titre « L’économie de Melkyra ». Le long de la paroi sont alignés des crânes de toutes sortes, principalement des animaux de tailles petites et moyennes, mais Kyllan distingue aussi des crânes humains et gobelins. Il prend ce qui l’intéresse avant de sortir de la pièce.
Quelques minutes après, le seigneur Tharn réapparait, suivi de ses deux acolytes et annonce avec un large sourire :
« Bonne nouvelles mes amis, vous allez enfin pour respirer l’air pur de nos magnifiques forêts ! Personne à l’horizon et la sortie n’est qu’à quelques centaines de mètres dans cette direction… Suivez-moi ! »
Une fois encore, il n’attend aucune réponse et entame sa marche vers l’extérieur.
Expérience gagnée :
-Crysania : 500
-Erwinel : 400
-Thiazzi : 400
-Kyllan : 500
-Linhaendel : 400
-Severina : 500
-Celerndorf : 400

[cannonball]

Enfin, ce combat est fini!
Je dis à Celerndorf "Je ne saurais suffisamment te remercier pour ce que tu as fait ! La vie est si précieuse, et je pourrais encore en profiter grâce à toi ! Si tu as besoin de quelque chose, dis le moi ! ", puis je lui adresse un sourire amical.*
Puis je marche en suivant le seigneur Tharn, je suis si pressé de retourner à l'air libre !

[Linhaendel]

« son cadavre est à sa place ici, au milieux des autres animaux! »
cette phrase résonnait encore dans la tête de Linhaendel ! mais pour qui se prenait-il ce seigneur ? résultat abject de plusieurs générations prétentieuses aux relations incestueuses. Descendant de bêtes humaines, aux crimes anoblis, que la consanguinité aurait détruits sans les viols de quelques ascendantes évitant ainsi la dégénérescence de sa race.

Linhaendel malheureusement n’était pas surprise, l’ humain n’avait jamais construit de dynastie sur la compassion et l’amour de son prochain, mais elle était obliger de reconnaître que ce Thran avait des qualités de meneurs de hordes et que c’était des hommes forts comme lui qui avaient maintenu cette servitude chez ses semblables.
Le fait que des personnes, qui pouvaient redonner espoir en l’espèce humaine, comme Elric et Métos acceptent son autorité montrait qu’il était l’homme de la situation. Linhaendel voulait retrouver la liberté pour Severina et pour elle !

Linhaendel était en vie comme Severina !
La vie méritait d’être vécue et Linhaendel refusait d’y donner un sens, un sens probablement absurde, elle était heureuse ! Gröll peut être aussi !
Linhaendel repose délicatement la tête de Gröll sur le sol et arrache les flèches de son tors.
Elle lui joint ses puissantes mains sur son énorme hache posée sur sa poitrine et lui place une pièce en or dans la bouche.

Linhaendel se lève après lui avoir embrassé le front et va rejoindre son amie Severina !

[Kzardall I-Kâzend]

Pensant plus à mon confort qu'a celui des mort *au diable cet ogre "trouble-fête"!!*, je décide de rapiècer mon pantalon. Peu de temps après, j'entends le seigneur Tharn annoncer une nouvelle qui fait bondir mon coeur d'excitation :

« Bonne nouvelles mes amis, vous allez enfin pour respirer l’air pur de nos magnifiques forêts ! Personne à l’horizon et la sortie n’est qu’à quelques centaines de mètres dans cette direction… Suivez-moi ! »

Je termine ma besogne en vitesse et aperçois alors une ombre noire s'approcher de moi. C'est l'elfe noir que j'ai sauvé il y a peu :

"Je ne saurais suffisamment te remercier pour ce que tu as fait ! La vie est si précieuse, et je pourrais encore en profiter grâce à toi ! Si tu as besoin de quelque chose, dis le moi ! "

J'ai à peine le temps de réagir à ses paroles qu'il part déjà à la suite du seigneur Tharn !
*Vraiment de très étranges créatures !* me dis-je alors que je me relève.
Le ciel !! Je vais enfin voir autre chose que ces fichus tunnels !! Et en pleine forêt en plus !!

J'ai moi-même des fourmis dans les jambes alors que je me précipite à la suite de Thiazzy. Je me met même à courir à sa hauteur.
"Considère que nous somme quitte, l'ami. Tu as sauvé ma jambe et je ne l'oublierai pas non plus." lui dis-je en lui tapotant sur l'épaule.
Et, ne pouvant freiner ma curiosité, je lui demande.
"C'est la première fois que je vois un elfe noir pour de vrai. Vous n'habitez pas sous terre, d'habitude ??"
Tout en marchant à ses cotés, j'attends sa réponse.

[cannonball]

*J'entends Celerndorf me demander si il est vrai que nous vivons sous terre*

"En réalité, je n'ai jamais vraiment vécu avec les autres elfes noirs, mes souvenirs les plus lointains remontent à mon enfance dans la forêt, je ne me souviens pas si j'ai déja vu ma mère, qui m'a surement abandonné à la naissance. J'ai passé toute ma vie dans la forêt, au contact des animaux, et c'est à force de les cotoyer qu'ils ont fini par m'accepter parmis eux, et c'est ainsi que je suis devenu druide. Mais je parle, et je m'éloigne du sujet. (sourire) Pour dire vrai, je n'en sais qu'à peine plus que toi sur les conditions de vie des elfes noirs, je ne suis donc pas capable de répondre à ta question. (autre sourire) Mais au fait,qu'est-ce qui t'as poussé )à venir dans cette ville, et à t'engager dans tous ces problèmes en compagnie de notre petit groupe ? (smile)

[Kzardall I-Kâzend]

Décidement je sais bien peu de choses sur ces créatures à la peau noire comme l'ébène. Déjà ils ne sont pas aussi vils que la rumeur veut bien le prétendre. Mais quel peuple cruel d'abandonner ses propres progénitures !
Et à sa question je ne peux empêcher mon regard de s'assombrir quant aux souvenirs, encore trop proches, qu'elle fait resurgir.
"Je ne suis pas venue ici de gaieté de coeur si tu veux tout savoir. Je viens des contrées séptentrionales du royaume et crois-moi que j'y serai resté si des obligations familliales ne m'avaient pas obligés à me rendre ici. Mais les choses ne se sont pas passé comme prévue et, pour couronner le tout, afin de sauver ma vie, je me suis retrouvé dans les égouts puants de cette cité de malheur !" *soupir* Après un court moment de silence, je reprends : "Et, peu de temps après, je vous ai rencontré et me voila." conclus-je avec un maigre sourire.
"Et toi, qu'est-ce qui t'as poussé à quitter ta forêt ?"

[cannonball]

Il a l'air d'avoir eu aussi peu envie que moi de venir dans cette ville, me dis-je

Je lui réponds:
En réalité, un mal obscur a infecté la forêt d'où je viens. Je me suis donc mis à chercher le moyen de détruire ce mal. Mes recherches m'ont conduites dans cette ville, où j'aurais apparemment pu en apprendre plus sur le sujet. La seule chose que je sais pour le moment, c'est que ce mal provient en fait d'un artefact nommé "l'oeil du tyrannoeil", je veux donc trouver et détruire cet artefact maudit. Je suis donc venu dans cette ville accompagné de mon fidèle loup, mais je ne m'attendais pas à ce que les humains me haïssent tant sans raison apparente. Me voila donc maintenant, dans un égout puant, je n'ai pas du tout avancé dans mes recherches et mon meilleur ami est mort par ma faute. *On peut voir une larme couler sur la joue de Thiazzi* La seule bonne chose qui me soit arrivé dans ce voyage, c'est davoir fait ta rencontre. *sourire* Mais que comptes-tu faire une fois que nous serons sortis de ce tunnel ?

[Kzardall I-Kâzend]

*Mais...il pleure !!*
Non, décidément, je ne connais rien de cette race, me dis-je. Ils sont bien plus sensibles que certains humains en tout cas.

"Je ne connais point le mal dont est affecté ta forêt et suis désolé pour ton ami, vraiment." lui dis-je. Puis, je continue ; "Quant à savoir quoi faire après être sorti d'ici...*soupir* J'ai longuement réfléchis à cette question et je crois que je vais aider, autant que faire se peux, le Seigneur Tharn dans sa guerre contre ces créatures démoniaques. *je fronce les sourcils* A l'origine tout ce que je désirais c'était rentrer chez moi. Mais il n'y a plus personne qui m'attends de là où je viens et peut-être est-ce le moment pour moi de quitter la terre qui m'a vue grandir..."

Je laisse la phrase en suspent, me rendant compte que je réfléchissais tout haut. Je n'ai pas l'habitude de me confier à quiconque et je me sent un peu gêné de l'avoir fait de façon aussi naturelle.
"Et toi, tu compte faire quoi ?"

[cannonball]

Ce que je vais faire ? Eh bien, je detruirai cet artefact maudit, et ce par tous les moyens, même si je dois y laisser ma vie ! Une fois que ce sera fait, je chercherai celui qui a activé le pouvoir de cet artefact, et je le mettrai hors d'état de nuire. Mais avant tout ça, je vais rechercher un moyen de ramener mon ami à la vie... *regard pensif*Maintenant, excuse-moi, mais je dois aller poser quelques questions à ce pretre. Ravi de t'avoir parlé, j'espere que nous aurons bientôt l'occasion de continuer cette conversation. *Je souris, puis fais un signe de la main à Celerndorf pour lui dire au revoir, et j'accelere le pas, afin d'arriver au niveau du pretre*

*Je m'adresse à celui-ci*Bonjour, je crois que je ne vous ai toujours pas remercié pour les deux fois ou vous m'avez guéri. Eh bien, merci ! *sourire* Mais j'aurais quelques petites questions à vous poser, à propos de la résurrection. Faut-il necessairement être proche du corps du défunt pour pouvoir le ressuisciter ? Peut-on ressuisciter un animal ?

[Kzardall I-Kâzend]

Je répond au salut de Thiazzy par un sourire discret et un signe de main et continue, seul, mon chemin vers la sortie.
Cette sortie que je ne quitte pas des yeux.

*Mais dans quoi est-ce que j'm'embarque ??* me dis-je, alors que je repense à ma conversation avec l'elfe noir.

[mavina (crysania)]

Je fouille les gnolls... Rien de bien interessant, mais je vais prendre 2 armures de cuir bouillie et 2 hallebardes, ça fera de l'or en les revendant.

J'entre-vois que la paladine et l'abruti d'elfe noir sont soignés par Elric. J'entend surtout l'elfe noir qui nous raconte sa vie...
Ca me fendrai le coeur, si seulement j'en avais un, et si ce n'était pas moi qui ai tué son loup... Rien que de repenser à sa nuque qui craque sous mon pied, ce frisson qui se répend en moi quand je tue... J'en ai le sourir aux levres.

Après avoir ramassé mon "butin", je regarde cet orc qui a failli tous nous faire tuer... Ma première rencontre avec lui m'avait fait penser que lui aussi était un abruti, je vois que je ne m'étais, encore une fois, pas trompée.

J'examine ou Kyllan est. Si je le vois, je vais le voire et lui propose de m'accompagner pour la suite du chemin, puis je suis Tarn, que Kyllan accepte ou pas. Sinon, je suis Tarn en me retournant de temps à autres pour voire si Kyllan est à vue, que je puisse finir ma discussion avec lui.

[Linhaendel]

« Bonne nouvelles mes amis, vous allez enfin pour respirer l’air pur de nos magnifiques forêts ! Personne à l’horizon et la sortie n’est qu’à quelques centaines de mètres dans cette direction… Suivez-moi ! »
Linhaendel semble à nouveau s'amuser
"tiens le seigneur est de retour parmis les siens ! on devait lui manquer Severina ? "
( sans attendre la réponse !^^ Linhaendel continue sur un thon en jouet (une peluche genre doudou !))
"tu viens Severina, le père Noël (un Coluche genre dur dur !) nous promet pas le grand soir, ni à manger et à boire, mais de l'air pur et de magnifiques forêts ! "
Linhaendel saisit délicatement la main promise de sa délicieuse amie, prodigieuse ensorceleuse !
Linhaendel suit la progression du maître délivrant de ces lieux, propices aux rencontres prometteuses !
Linhaendel s'approche délibérément de Metos, protecteur de nos chères rêveuses !

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Soulagé que ce combat se termine enfin, mais écœurée par le comportement du seigneur Tharn, Linhaendel abandonne le cadavre de l’orc et rejoint Severina. Ensemble elles se mettent en route à la suite du vindicatif seigneur et se rapprochent de Metos. Elles sont toutes les deux suivies par l’elfe noir et le rôdeur qui profitent de l’occasion pour faire connaissance et discuter de la situation. Kyllan, après sa visite peu fructueuse de la caverne de l’étage rejoint le reste du groupe et se met en marche lui aussi. Il est vite rattrapé par crysania qui tente d’engager la discussion avec lui. La marche est fermée par Erwinel, qui insiste pour protéger les arrières du groupe. Les aventuriers entendent Tharn donner l’ordre à deux soldats d’aller chercher les villageois étant restés en retrait et de les rejoindre à la surface.
Thiazzi en profite pour lancer la discussion avec Elric:
-Bonjour, je crois que je ne vous ai toujours pas remercié pour les deux fois ou vous m'avez guéri. Eh bien, merci !
Il poursuit en souriant:
-Mais j'aurais quelques petites questions à vous poser, à propos de la résurrection. Faut-il necessairement être proche du corps du défunt pour pouvoir le ressuisciter ? Peut-on ressuisciter un animal ?
- Vous savez, vous ne devriez pas prendre la résurrection à la légère mon jeune ami, la nature suit son court et il n'est guère bon de s'y opposer. Le sacrifice qu'exigent les Dieux pour se pouvoir est grand... Cependant pour vous répondre, il est possible de ressusciter n'importe quel être vivant, pour peu que le prêtre qui lance le sort ait suffisamment de pouvoir, un être humain, un animal ou autre chose... Par contre le corps du défunt est indispensable, sans cela, nous ne pouvons que rappeler l'esprit qui, sans corps ou habiter, se dissiperait et repartirait dans le plan où il avait échoué...

Le groupe s’engage à nouveau dans des tunnels escarpés dont la pente remonte de plus en plus vite. L’avancé est lente et les aventuriers las profitent de ce temps mort pour discuter, espérant que tout ce qui vient de se passer depuis quelques heures ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir. Au bout d’une petite demi-heure, la luminosité s’accentue à chaque pas, la cadence s’accentue de plus en plus, jusqu’à ce que le groupe soit presque ébloui par la clarté aveuglante d’une lune pleine. Les elfes noirs plissent les yeux en arrivant dans la petite clairière sur laquelle débouchent les tunnels et on peut voir des sourires sur les autres visages. Le groupe se retrouve dans un cercle d’herbe et de terre d’une vingtaine de mètres de diamètre, entourés par de majestueux conifères de plusieurs dizaines de mètre de hauteur et parsemé de souche et d’arbres abattus, probablement par les gnolls.
Le seigneur Tharn se retourne et déclare :
« Vous voyez je ne vous avez pas menti mes amis ! Reposez-vous tous quelques minutes pendant que nous attendons le reste du groupe, vous l’avez bien mérité, ensuite nous nous mettrons en route… J’aimerais vous proposer de camper et de profiter d’une bonne nuit de sommeil, mais nous ne pouvons malheureusement nous permettre ce luxe… Mais réjouissez-vous, vous venez de reporter l’heure de votre mort de plusieurs années. ».
Sur ce, il délaisse le groupe pour se mettre un peu en retrait avec Fey et discuter de la marche à suivre. Une grosse heure plus tard, alors que le soleil commence à éclairer le paysage de ces premières lueurs les deux gardes sortent à leur tour des tunnels, l’air déconfits, ils s’adressent à Tharn :
« Nous avons fouillé les tunnels de fond en comble mon seigneur, aucune trace des villageois, je crains que l’engeance ne les ait attrapé… »
L’air désolé, le seigneur Tharn se contente de baisser la tête et de poser la main sur l’épaule du garde qui vient de parler. Après avoir demandé à Elric de prier pour les morts de la journée, il se dirige vers les aventuriers et leur dit :
« Comme vous le savez tous, la situation est grave, il est urgent pour moi de me diriger vers la capitale et d’en référer au roi. Cependant je ne peux vous abandonner ici, nous allons vous accompagner jusqu’au village le plus proche. Il semblerait qu’il soit à moins de deux heures de marche d’ici, ensuite je vous laisserai reprendre votre vie. Si certains d’entre vous souhaitent partir maintenant, je ne vous retiendrai pas, cependant je vous le déconseille fortement, ces bois ne sont pas très dangereux pour un groupe armé comme le notre, mais pour une personne seule, c’est une autre affaire… «
Il attend la réponse des aventuriers avant de conclure :
« Mettons nous en route ! »
Alors que le soleil se fait plus présent loin à l’est, Tharn reprend la tête du groupe et s’enfonce dans les bois en direction du nord-est avec tous ceux qui ont choisi de le suivre.
Le seigneur disait la vérité et, après une marche de deux heures, les arbres se font de plus en plus rares et le sentier de plus en plus praticable. Les aventuriers aperçoivent bientôt de la fumée au loin, puis une palissade en rondin de bois dont les extrémités fusionnent avec la forêt sur les côtés. En plein centre, une porte rudimentaire est gardée par deux personnes en armure de cuir armés de lances. Tharn stoppe alors la marche et annonce :
« Nous sommes arrivés. Je ne vous remercierai jamais assez pour ce que vous avez fait pour nous aujourd’hui. Quand tout cela sera terminé, allez voir le roi de ma part à la capitale, il saura vous récompenser comme il se doit. Mes dames et mes sieurs, j’espère que vous trouverez la paix et la prospérité, puissions nous nous revoir dans de meilleurs circonstances… »
Puis il attend la réaction des aventuriers


Vous êtes sortis vivants de l'attaque sur Melkyra : +700 xp à tout le monde

[Kzardall I-Kâzend]

Le temps me dira si j'ai raison ou pas, mais, inconsciement, je m'avance d'un pas hésitant et bredouille d'une voix que j'espère assurée :
"Seigneur, je ne peux m'imaginer rentrer chez moi et laisser une telle menace peser sur le royaume sans réagir !" Je dégaine alors mon épée et la plante violement dans le sol juste avant de poser un genoux à terre.
"Je....je vous offre mes services. Usez en comme bon vous semblera."

*Je suis devenu fou...* me mortifie-je intérieurement alors que j'attends la réponse du Seigneur Tharn.

[Linhaendel]

Linhaendel regarde le rôdeur fougueux faire allégeance au seigneur Thran ! lui au moins ne doute pas de ses moyens !
Linhaendel prend la parole, à qui ne voudrait pas lui donner, en interpellant le seigneur Tharn
« Votre seigneurie ! permettez moi de vous posez deux petites questions ! vous comptez rejoindre le roi à la capitale, ville puissante où ma présence serait un fardeau pour vous ! mais, votre éminence, puis-je savoir qui vous accompagnera ? et que pouvons nous faire au sein de ce village, à part nous y cacher en espérant que le fléau, qui à ravager votre belle cité, ignore son existence ?
je ne pense pas être très utile dans votre combat, mais l’idée simple de rester cacher ou de fuir m’est insupportable !
Et puis sur le marché de votre ville, avant la cataclysme, j’ai croisé une petite fille qui adorait le chocolat !
Et j’aimerai que cette chose, responsable de ce chaos, avant d’être détruite, sache que je me suis battue contre elle en mémoire de cette petite fille ! »
Linhaendel réalise qu’elle est enfin à l’air libre ! mais une sensation étrange l’envahit, cela ne lui suffit pas, cela ne lui suffira plus !

[cannonball]

Après avoir entendu la réponse du pretre, je lui dis :
Oui, je comprends ce que vous voulez dire, je vais essayer de trouver une autre solution alors. Merci, et au revoir *je lui fais un sourire, puis je m'éloigne de lui*



Enfin sorti de ces tunnels !
Je vois Celerndorf preter allégeance au seigneur Tharn, suivi quelques secondes plus tard par Linhaendel.
Ils veulent se rendre à la capitale...Hm, après tout, pourquoi pas ? Me rendre à la capitale me permettra de récolter de nouvelles informations sur cet oeil du tyrannoeil, et me rendre à la capitale avec leur groupe est le moyen le plus rapide et le plus sur...

Je demande à Tharn :
Excusez-moi, dans combien de temps comptez-vous vous rendre à la capitale ?


Si il me dit qu'il partira dans moins de 24 heures, je lui dis "Alors nos chemins se séparent ici. Au revoir, et merci pour toute l'aide que vous m'avez apporté.", puis je me mets à l'écart du groupe pour prier les dieux de la Grande Forêt, afin que l'âme de Grendel puisse reposer en paix, et qu'un autre loup puisse venir m'accompagner.

Si il me dit qu'il partira dans 24 heures ou plus, je lui dis "Ce sera parfait. Permettez que je me joigne à vous quand vous partirez. Maintenant, excusez-moi, j'ai quelque chose de très important à faire.", puis je me mets à l'écart du groupe pour prier les dieux de la Grande Forêt, afin que l'âme de Grendel puisse reposer en paix, et qu'un autre loup puisse venir m'accompagner.

[Erwinel]

Le groupe est enfin sorti de ces souterrains. Erwinel est heureuse de respirer l'air extérieur, mais sa conscience la tracasse. Tous ces morts, tous ces blessés, et ce grand Seigneur qui ne pense aucunement à leur rendre hommage et à accompagner leurs esprits vers l'autre monde.

Excusez-moi, Seigneur Tharn, je vous suis très reconnaissante de nous avoir accompagnés à ce village, mais ne devrait-on pas célébrer un office, même rudimentaire, pour permettre aux âmes des défunts de gagner l'autre monde?
(Me retournant vers le prêtre) Grand Prêtre Elric, vous êtes bien placé pour le savoir, les âmes des défunts risquent d'errer en ce monde et de devenir un nouveau danger pour son peuple. Aidez-moi au moins à accompagner leur départ par une prière.

S'ils acceptent de se joindre à moi dans une dernière prière en faveur des défunts de Melkyra, je pars ensuite avec eux vers la capitale.
Mon destin m'a amenée vers Melkyra pour que je combatte à vos côtés. Je vois là un signe d'Illmater pour continuer ma quête, je vous suivrais donc à la capitale. Mon épée est vôtre, Seigneur.

S'ils refusent de perdre du temps, je rejoins alors le village.
Très bien, je ne peux vous forcer la main. Je resterai donc ici le temps de prier en leur mémoire. Peut-être que nos chemins se croiseront à nouveau.
J'y cherche un temple, un prêtre ou tout bâtiment pouvant faire office de sanctuaire et j'adresse une prière à Illmater pour qu'il accueille les morts et protège les rescapés de cette attaque. Selon l'heure, je cherche ensuite une auberge où passer la nuit, ou je repars sur les routes en direction de la capitale.
Quel que soit ce qui se trame, je veux en savoir plus. Une fois à la capitale, j'en saurais sûrement plus sur ces évènements.

[Kyllan]

*Je fais signe à Crysania que je l'écoute en suivant le groupe*

[mavina (crysania)]

(par mp pour la discussion avec Kyllan)

Nous arrivons à un endroit que l'on pourrait appeler "sûr". Le seigneur Tarn nous sort son discours rassurant... Très bien, peut-être y aura-t-il un marchand qui me rachettera tout ce bardas.

J'en suis !

Je vois l'elfe noir s'éloigner ... Interessant...

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Alors que Tharn s’apprête à repartir, Celerndorf s’avance et lui déclare allégeance, vite suivi par Linhaendel. Lorsque celle-ci commence sa tirade, Severina, qui ne lui avait pas lâché la main depuis la fin de la bataille avec les gnolls esquisse un geste de recul, une lueur de terreur dans les yeux. Il écoute ensuite le druide qui lui demande s’il compte partir immédiatement et la paladine qui demande la célébration d’un office pour les morts.
En entendant ces mots, il fronce légèrement les sourcils puis éclate de rire :
- Sans vouloir vous manquer de respect mes jeunes amis, votre bravoure et votre courage sont grands et méritent des louanges, mais votre groupe entier ne pourrait vaincre un seul de mes gardes…
Il se reprend, conscient de la rudesse de sa déclaration.
- Mais surtout, il s’agit d’un voyage politique, les seigneurs des diverses régions vont s’entretenir avec le roi et nous allons décider de la marche à suivre. Nous ne saurions user de votre… Enthousiasme à la capitale. Je sais que vous voulez aider. Dans ce cas, commencez par ce village ou ces alentours, l’armée qui a attaqué Melkyra ne s’attaquera probablement qu’aux grandes villes, mais ces attaques ne seront pas sans conséquences, les pillards et les orcs en profiteront, l’ordre établi est menacé, je suis sur que vous pourrez aider à votre échelle ici bien plus qu’en me suivant…
Il se tourne ensuite vers Thiazzi et Erwinel :
- Malheureusement nous devons partir immédiatement, Tyr seul sait ce qui peut arriver. Soyez cependant sur que nos vœux accompagnent les victimes …
Elric ponctue cette déclaration par une courte prière avant de conclure :
- Mon cœur saigne jeune paladine, mais le seigneur Tharn a raison, nous ne pouvons nous permettre de perdre plus de temps… Je pressens que bien plus que quelques milliers d’âmes sont menacées, nous devons nous hâter… Je suis sur que vous saurez rendre hommage à toutes ces gens. Prenez, s’il vous plait, le temps de faire ce que je ne peux.
Puis avec un sourire attristé, il pose sa main sur l’épaule de la paladine avant de suivre le seigneur Tharn qui se dirige vers les gardes et discute avec eux quelques secondes. Les gardes s’empressent d’obéir au seigneur et disparaissent quelques minutes. Lorsqu’ils reviennent, ils sont suivis par quelques chevaux vite réquisitionnés par la troupe seigneuriale qui se met rapidement en route vers le sud.

Malgré son intense fatigue, Thiazzi est le premier à quitter le groupe d’aventuriers, il s’enfonce dans la forêt et s’agenouille pour prier pour le repos de Grendel puis communie avec les esprits afin d’appeler un nouveau loup. Après plusieurs heures sans réponse, un loup apparait derrière les arbres, il lui faut encore quelques heures pour oser approcher le druide. Les deux créatures peuvent ensuite communiquer et le druide apprivoise progressivement l’animal, au bout de 24h, le loup le suivra comme son nouveau maitre.

Erwinel imite le druide et quitte le groupe promptement, lorsqu’elle pénètre dans la ville, elle se fait aborder par les gardes. Lorsqu’ils lui parlent, ils se tiennent droit et articulent lentement leurs mots, comme s’ils cherchaient à faire bonne impression :
- Bonjour madame, j’ai entendu dire du l’seigneur Tharn que vous auriez fait un long voyage… Ptetre bien que vous et vos amis vous voulez vous reposer ? C’est pas trop du luxe par ici, mais notre auberge est chaude et sert des bons repas, si vous voulez… C’est quelques mètres dans la partie est du village vous trouverez facilement, c’est au bout de cette route…
Il pointe l’un des trois chemins partant de la porte… Erwinel le remercie et lui répond qu’elle cherche un temple.
- Nous avons un beau temple de Chauntéa – surement pas aussi beau que dans vos grandes cités mais y’est bien quand même- dans la partie est aussi, juste proche de l’auberge, vous tournez sur la droite puis la deuxième route à gauche
Après l’avoir remercié une fois encore, elle se dirige vers le temple pour aller prier pour les âmes des défunts de Melkyra… La différence avec l’importante cité commerciale de Melkyra saute aux yeux dès que la porte est franchie, le village est petit et les maisons sont construites en terre cuite, en chaume et en bois. Les habitants qu’elle croise commencent seulement à s’afférer, malgré le lever du jour déjà passé, la plupart portent des sacs remplis de nourriture ou poussent des petites charrettes, la vie tournant visiblement autour de l’agriculture ici. Ils sont tous habillés de vêtements simples et travaillent dans un silence presque irréel, la peur semblant marquer leur visage et nouer leurs langues…

Après avoir observé la scène, crysania se met en quête d’un quelconque marchant, là aussi les gardes l’interpellent et lui indique l’emplacement du forgeron du coin, lui aussi non loin de l’auberge. Celui-ci semble ravi de recevoir un client, comme-ci cela n’était pas arrivé depuis des années :
- Bienvenue dans ma boutique ! Qu’est ce que je peux faire pour vous ? ‘Voulez voir mes articles ?

[cannonball]

Ce loup, il me rappelle tant Grendel.

Dès que j'ai fini de prier, j'ordonne au loup de m'accompagner, puis je vais voir Celerndorf.
Si celui-ci est rentré dans la ville, je n'entre pas dedans, et j'en profite pour explorer les environs. J'en ai assez d'être traité comme un ennemi par les humains.
Si celui-ci est encore à l'exterieur de la ville, je lui dis "Eh bien, nous voila enfin sortis de ces tunnels sombres !"

[Kzardall I-Kâzend]

Je me relève lentement face au seigneur Tharn, dont les paroles m'heurtent autant qu'elles me soulagent. Il est vrai qu'à voir l'escorte dont il est affublé j'aurai fait un bien piètre serviteur...
Je le salue alors en m'inclinant respectueusement et décide de m'isoler momentanément du groupe dont j'ai fait partie. Cela faisait longtemps que je ne l'avais fait, mais en ce jour j'ai décidé de m'acquitter d'un certain rituel. Et après quelques heures de marche je parviens enfin au sommet de la coline la plus proche et m'agenouille à son sommet. Machinalement je retire une flèche de mon carquois et la casse net en deux avant de l'enterrer dans le sol. Je rejoints mes mains et, les yeux fermés, adresse une prière au dieu Sylvanus. Mes pensées se perdent alors vers ma mère et ma soeur Clémence, et prie pour la paix de leurs âmes, encore dans ce monde où ailleurs. Machinalement, je ne peux m'empêcher de repenser à Claryss et j'ai beau lutter mais je ne peux éviter de serrer les poings et de frapper durement le sol. "Que Malar l'emporte où et dans quel état qu'elle soit !!". Bien que ne tenant pas cette divinité dans mon coeur, c'est celle que ma soeur ainée m'a inspirée. Et j'espère enterrer jusqu'à son souvenir de ma mémoire !

Je me relève alors et décide de rejoindre le village où le seigneur Tharn nous avait laissé.
Pendant les quelques heures de marche que durent mon retour, je profite de cet air pur et m'arrête fréquement afin de profiter de ce cadre verdoyant. A voir tout ces arbres (dont certains d'une taille impressionante !), un doux sentiment de plénitude m'envahi.
Mais à la lueur du jour déclinante je me rends compte que je suis encore trop loin du village pour le rejoindre aujourd'hui et décide de faire une halte.
Passer la nuit à la belle étoile ne m'a jamais rebuté, mais dans un lieu que je ne connais pas cela impose quelques précautions. Aussi je décide de trouver une souche creuse inhabitée, dont j'aurai camouflé l'entrée à l'aide de branchages, et décide de m'y restaurer [Prise d'un repas] avant de ne dormir que d'un oeil [mode Perception Auditive et Survie On].

+ Dans le cas où mes sens percevraient un bruit suspect, je m'éloigne discretement et essaye de savoir qui est l'éventuel intru [Mode Déplacement silencieux et Connaissance de la Nature On].
- Si celui-ci est trop fort pour moi (ou si ce n'est qu'une créature non-agressive), je m'éloigne discrètement en direction du village, en espérant être dans la bonne direction [Mode Sens de l'Orientation et Déplacement Silencieux On].
- Si la créature m'a repéré et/ou si elle est est beliqueuse je fonce dans le tas !! (non mais !! ><)
[Si je réussit à la vaincre ou à l'effrayer, je m'éloigne du lieu de l'affrontement, de crainte que l'odeur de son cadavre n'attire d'autres visiteurs, ou qu'elle ne rameute ses potos en cas de fuite de sa part]
- Si vraiment elle est trop forte pour moi je m'enfuis à toutes jambes et tente de grimper à l'arbre le plus proche, en espérant la semer de cette façon. [mode Escalade On]

+ Si ma nuit s'est bien passé je me lève aux premières lueurs du jour et reprends la direction du village.

C'est le coeur plus léger que je fini par arriver en vues des portes du modeste village d'où je suis parti plus tôt et croise alors Thiazzy qui est maintenant accompagné par un loup qui le suit comme si ils s'étaient toujours connus. Je me rappelle alors notre conversation "La seule bonne chose qui me soit arrivé dans ce voyage, c'est d'avoir fait ta rencontre." avec une gêne étrange qui me fait monter le rouge aux joues. Je lui souris et il me dit : "Eh bien, nous voila enfin sortis de ces tunnels sombres !"
"Et je n'espère pas y retourner de sitôt !" lui réponds-je avec conviction.
Je lui demande alors si il est toujours décidé à trouver le fameux artefact dont il a besoin pour sauver sa forêt, décidé que je suis à l'aider dans sa quête.

[Linhaendel]

Linhaendel regarde , sans dire un mot, les deux gardes à l'entrée du village puis se tourne vers Severina.
Linhaendel sourit à Severina qui semble absente, son regard flotte dans les airs et son sourire n'a pas d'âme ! ou alors une âme oubliée !
Linhaendel propose à Severina, en l’entraînant délicatement , d'aller s'asseoir sur la souche d’un vieux chêne à trois pas de l’entrée du village. Linhaendel se retourne vers le seigneur Thran et dit :
« merci ! bonne route jusqu'à la capitale et si je peux me permettre de vous demandez un petit service, j’aimerais que vous passiez le bonjour à la Reine pour moi, je m’appelle Linhaendel ! ...merci ! »

Assise à coté de Severina, Linhaendel cherche, dans son sac, un morceau de chocolat et l’offre à son amie !

Interpellant le seigneur Thran
« pardon messire ! vous ne connaîtriez pas un bon luthier dans la région ? j’aimerai acheter une mandoline ! »

et à Metos
« reviens nous vite vieux brigand, j’ai toujours mon lait fraise en commande ! »

[cannonball]

"J'éspère ne pas avoir à y retourner non plus ! Je suis toujours décidé à retrouver cet artefact, et Behemoth, mon loup, m'y aidera. Te joindrais-tu à nous ?"

[Kzardall I-Kâzend]

"Je serai des votres !" réponds-je à Thiazzy avec un franc sourire.
"J'imagine qu'avec le départ du seigneur Tharn, plus rien ne nous retient dans ce village..."
Après un moment de silence, je reprends : "Tu penses que d'autres compagnons d'armes pourraient nous suivrent dans ta quête ? A moins que tu ne désire partir de suite."

[cannonball]

"Séparons-nous pour le moment. Tu n'as qu'à aller dans le village afin d'essayer de recruter de nouvelles personnes pour nous aider, et pendant ce temps je vais dans la forêt afin de chercher des indices. Si ça te convient, retrouvons-nous ici dans 24 heures."

[Kzardall I-Kâzend]

"Très bien, faisons comme ça" dis-je à Thiazzy.
Je m'éloigne alors et me dirige vers le village où j'espère retrouver et convaincre quelques uns de nos compagnons d'armes.

*C'est pas gagné...* me dis-je en regagnant le village, d'un pas tranquille.

[cannonball]

"Bonne chance à toi !"
Tout d'abord, je fais un bon repas et je me repose un peu.
Puis je pars dans la forêt en compagnie de mon loup, dès que je vois un animal, j'active communication avec les animaux, et si j'ai le temps de lui parler, je lui dis "Salut à toi, connaitrais-tu un objet du nom de "oeil du tyrannoeil ?". Si il me dit qu'il connait, je lui réponds "Merci à toi !", et si il ne répond pas, je dis "Tu pourrais au moins me répondre !".

[Linhaendel]

Linhaendel lève la tête en espérant découvrir la Lune tout en se blottissant contre son amie Severina
Linhaendel, sans se rendre compte de l'importance du moment présent, la tête dans les étoiles chante une chanson d'un grand Elfe de Lune, peut être pour redonner le sourire à son amie !

La mer et les oiseaux envolés du sommeil
La pierre du seuil usée par le pas des saisons
Roses d'écume et fruits vermeils
Le vent rêvant sur ma maison
Le feu qui veille
L'or des poissons
Le soleil
Les moissons

Tout ce que j'aime
Tout ce que j'aime au creux des mains

Combats d'hier combats toujours recommencés
Premier cri de la vie graines de l'avenir
Un pas de plus vers la beauté
Rêves réels qui vont fleurir
L'espoir gagné
Savoir s'unir
La bonté
Rebâtir

Tout ce que j'aime
Tout ce que j'aime mène à demain

Le goût de vivre enfin sans mesure sans frontières
Les raisons de l'amour les raisons de la vie
Deux bras comme un grand livre ouvert
Une chanson contre l'oubli
Justes colères
Mystères conquis
La lumière
L'infini

Tout ce que j'aime
Tout ce que j'aime t'appartient

[Erwinel]

Je me dirige directement vers le temple, et une fois arrivé au temple, je cherche à rencontrer le prêtre local et lui demande un office pour les victimes de Melkyra.
S'il accepte, je me joins aux prières pour accompagner les âmes des défunts vers l'au-delà. S'il refuse (quelles que soient ses raisons), je procède seule à une prière envers mon Dieu et celui de Melkyra, leur demandant d'accepter en leur royaume les victimes du massacre, et même l'âme de l'orc et des gnolls que nous avons du affronter.

Je repars ensuite en ville, me questionnant sur la suite à donner aux évènements. Suivre le Seigneur Tharn vers la capitale ne sera pas d'une grande aide, et le Seigneur Tharn nous a avertis de conséquences possibles sur ces petits villages. Perdue dans mes pensées, j'arrive devant l'auberge. Je regarde autour de moi avant de rentrer, les travailleurs sont d'un silence profond, et une sorte de peur semble marquer leurs visages. Ne souhaitant pas les brusquer tout de suite, j'entre dans l'auberge, m'installe au comptoir et demande un repas chaud.

J'en profite ensuite pour me renseigner auprès de la personne qui vient me servir. Je lui demande tout d'abord le nom de son village, son histoire en demandant des précisions sur les pratiques religieuses. Puis si la conversation s'amorce bien, je tente quelques sujets plus épineux : Sont-ils au courant de ce qui s'est produit à Melkyra? Pourquoi les personnes dans la rue semblent-elles muettes? De quoi ont peur les villageois?

[mavina (crysania)]

J'aimerai vous vendre ceci.

Je dépose les hallebardes et les armures que j'ai récupérées sur le champ de bataille

Combien m'en prenez vous ?

Et j'aimerai en effet aussi voire la liste de vos articles.

J'attend que le forgeron me montre la liste de ses articles.

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Voyant l'humaine déposer son matériel sur son comptoir, le sourire du forgeron s'efface immédiatement. Il bredouille d'un air gêné:
-Ben... Vous savez... Par les temps qui courent... Pour vous dire la vérité, je n'ai rien vendu depuis plusieurs semaines, avec la garde qui récupère mon travail pour presque rien, jn'ai plus une pièce d'or! Quand bien même que jvoudrais vous l'acheter que jpourrais pas... vous pouvez essayer de revendre tout ça à la garde, 'zaurez ptêtre plus de chance... Par contre si vous voulez m'acheter quelquechose, j'ai des beaux objets:


Dague 500g 2 po (1D4, 19-20/X2)
Serpe 1 6 po (1D6, 20/X2)
Epieu 1.5 kg 1 po (1D8, 20/X3)Gourdin 15 kg / (1D6, 20/x2)
Masse d'armes lourde 4 kg 12 po (1d8, 20/x2)
Baton 2 kg / (, 20/X2)
Lance 2 kg 2 po (1d8, 20/x3)
Pique 4.5 kg 5 po (1d8, 20/x3)
Dard 250g 5 po (1D4, 20/x2)
Epée courte 1 kg 10 po (1d6, 19-20/x2)
Hachette de lancer kg 8 po (1d6, 20/x2)
Hachette 1.5 kg 6 po (1d6, 20/x2)
Marteau léger 1 kg 1 po (1d6, 20/x3)
Pic de guerre léger 1.5 kg 4 po (1d6, 20/x2)
Cimeterre 2 kg 15 po (1d6, 18-20/x2)
Epée longue 2 kg 15 po (1d8, 19-20/x2)
Fléau d'armes léger 2.5 kg 8 po (1d8, 20/x2)
Haches d'armes 3 kg 10 po (1d8, 20/x3)
Marteau de guerre 2.5 kg 12 po (1d8, 20/x3)
Pic de guerre lourd 3 kg 8 po (1d8, 20/x2)
Rapière 1 kg 20 po (1d6, 18-20/x2)
Trident 2 kg 15 po (1d8, 19-20/x2)
Cimeterre à deux mains 4 kg 75 po (2D4, 18-20/x2)
Corsèque 6 kg 10 po (2D4, 20/x3)
Coutille 5 kg 8 po (1D10, 20/x3)
Epée à deux mains 4 kg 50 po (2D6,19-20/x2)
Faux 5 kg 18 po (1d8, 19-20/x3)
Fléau d'armes lourd 5 kg 15 po (1D10,19-20/x2)
Grande hache 6 kg 20 po (1D12, 20/x3)
Guisarme 6 kg 9 po
Hallebarde 6 kg 10 po (1D10,20/x3)
Lance d'arçon 5 kg 10 po (1d8, 19-20/x2)
Massue 4 kg 5 po (1D10,20/x2)
Arc court Flèches(20)
1.5 kg 1.5 kg
30 po 1 po
(1D6,20/x3)
Arc long Flèches(20)
1.5 kg 1.5 kg
75 po 1 po
(1D8,20/x3)


Armures légères
Armure matelassée 5 kg 5 po (Bonus CA +1, limite de bonus de DEX +8, Malus aux tests 0, Risque d'échec des sorts profanes 5%)
Armure de cuir 7.5 kg 10 po (+2, +6, 0, 10 %)
Armure de cuir bouillie 10 kg 15 po (+3, +5, -2, 20 %)
Armure de cuir cloutée 10 kg 25 po (+3, +5, -1, 15 %)
Chemise de mailles 12.5 kg 100 po (+4, +4, -2, 20 %)

Armures intermédiaires
Armure de peau 12.5 kg 15 po (+3, +4, -4, 20 %)
Cotte de mailles 20 kg 150 po (+5, +2, -5, 30 %)
Cuirasse 15 kg 200 po (+5, +3, -4, 25 %)

Armures lourdes
Clibanion 22.5 kg 200 po (+6, +0, -7, 40 %)


Boucliers
Targe 2.5 kg 15 po (+1, 0, -1, 5%)
Rondache en bois 2.5 kg 3 po (+1, 0, -1, 5%)
Rondache en acier 3 kg 9 po (+1, 0, -1, 5%)
Ecu en bois 5 kg 7 po (+2, 0, -2, 15%)
Ecu en acier 7.5 kg 20 po (+2, 0, -2, 15%)

[mavina (crysania)]

Rien de bien interessant ...
Je suis désolé mais je suis moine, et en tant que tel je n'aurai aucune utilité à vos objets si j'en achetais un...

Ou puis-je trouver la garde ?

Après qu'il m'ai répondu, je me dirige vers l'endroit indiqué et cherche quelqu'un de compétant pour m'acheter mon bardas

[flb-Iori (Drakfaleiin)]

Linhaendel part s’assoir sur la souche d’un arbre près de la porte du village en trainant Severina par la main. Celle-ci n’oppose aucune résistance, la suit sans réagir et n’écoute pas son amie lorsqu’elle s’adresse à Métos et Tharn. Alors que ce dernier répond uniquement par un petit sourire, le tavernier s’attarde quelques secondes pour lui dire :
- Je suis sur que nous nous reverrons jeune dame… Et je vous offrirais à tous autant de pintes que vous le voudrez, après avoir reconstruit mon auberge bien sur… Les laits fraises sont pour les elfes et les femmes.
Conclut-il avec un clin d’œil avant de rattraper le seigneur Tharn et de disparaitre dans la forêt. La barde lève alors les yeux et entonne une balade sous le regard vide de son amie. Celle-ci n’esquisse pas la moindre réaction malgré la bonne volonté de Linhaendel.
A l’intérieur de la ville, Erwinel se dirige rapidement vers le temps que lui ont indiqué les gardes. Elle entre dans un bâtiment à l’honneur de Tyr, d’une taille restreinte et sobrement décoré. Seule une statue de trois mètres de haut du dieu de la justice aveugle attire l’attention. A ces pieds, un homme chauve en toge grise est en train de prier. L’homme, d’une quarantaine d’année, se retourne en entendant la paladine marcher, lui montrant son visage tiré et marqué par la fatigue et lui demande :
- Bonjour voyageuse, en quoi puis-je vous aider ?
Celle-ci lui demande un office pour les victimes de Melkyra, mais devant le visage surpris du prêtre, elle décide de lui raconter ce qui s’est passé…
- Ce que vous me dites là est terrible ! Je fais confiance au jugement du seigneur Tharn et de notre grand prêtre, je suis sur qu’ils ont pris la bonne décision… Mais vous avez raison, le moins que nous puissions faire est de rendre hommage aux innocents qui ont péris.
Joignant le geste à la parole, il se recueille en compagnie de la jeune elfe et prie avec elle pendant de longue minute pour le salut de l’âme des morts.

Elle se dirige ensuite vers le centre du village et finit par arriver devant la taverne. Après avoir observé quelques temps les gens qui l’entourent, elle pénètre dans le bâtiment et s’installe au comptoir. L’aubergiste l’accueille avec un sourire chaleureux :
- Bien le bonjour ! Qu’est ce que je peux faire pour vous mam’selle ?
Erwinel commande un repas chaud pour le prix d’20Pa et engage la conversation avec l’aubergiste. Celui-ci semble heureux de discuter du village avec elle. Elle apprend ainsi que se villa se nomme Alta et qu’il a été fondé il y a plus de 200 ans par des chasseurs :
- Le village n’était à l’origine qu’un simple camp, mais devant l’abondance de gibier les humains ont décidé de s’installer durablement au milieu des bois. C’est lorsqu’ils ont commencé à abattre les arbres qu’ils ont fait « connaissance » avec la tribu d’elfe qui vit non loin d’ici, après de brèves escarmouches de quelques semaines, les deux peuples ont finalement trouvé un accord : les humains disposeraient de quelques hectares pour construire leur village et seraient interdits de nuire à la nature environnante ou de s’avancer trop profondément dans les bois, en échange, les elfes ne leur nuiraient plus. Ensuite les chasseurs ont fait venir leur famille, et tout se petit monde s’est multiplié depuis ce temps pour donner Alta…
Lorsqu’Erwinel aborde le sujet de la religion, le tavernier répond nonchalamment :
- Boarf vous savez, comme partout, ici on croit en tous les dieux des Royaumes, on voudrait pas en froisser ! Par contre le seul temple qu’on a c’est celui de Tyr mais c’est surement parceque le seul prêtre qui est venu vénérait Tyr…
Conclut-il avec un petit rire… Voyant que le tavernier a l’air enclin à la conversation, la paladine lui parle de Melkyra, une fois encore, l’air surpris de l’homme l’incite à raconter ce qu’il s’est passé sous le regard étonné mais attentif du tavernier. Lorsqu’elle lui demande ce qu’il se passe ici, le tavernier se penche vers elle et baisse légèrement la voix :
- C’est pas vraiment un secret, mais ça réduit le moral des gens, et c’est pas ce qu’il y a de meilleur pour la clientèle, si vous voyez c’que j’veux dire… C’est pas aussi grave que ce qui vous est arrivé, mais depuis quelques semaines, les problèmes s’accumulent, ya le groupe de Carl qui emmerde tout le monde régulièrement, ils viennent et volent, agressent ou tabassent les gens au hasard dans la rue et histoire d’aider tout le monde, les gardes sont trop occupés à patrouiller dans la forêt, parceque les oreilles pointues – sauf votre respect – se sont mis à tuer nos chasseurs qui s’avancent un peu trop dans la forêt à leur gout… Pour la première fois depuis longtemps les habitants ont peur, ils n’osent plus trop sortir et ça ralentit la vie de tout le village…
Il se redresse et reprend, de sa voix normale :
- Enfin les affaires marchent toujours pas trop mal pour moi, jme plains pas !


Le forgeron semble franchement déçu de la réponse de crysania, il lui répond tout de même :
- Vous voyez la grande porte à l’entrée de notre village ? Vous êtes forcément arrivé par là, la caserne est juste à quelques mètres à l’est… Maintenant si vous voulez bien m’excuser…J’ai du boulot.
Puis il part s’assoir sur un tabouret derrière son comptoir et attend.
L’humaine suit les indications du forgeron et trouve facilement la caserne. Le garde à l’entrée lui demande la raison de sa visite, lorsqu’elle lui explique, il lui bredouille d’aller voir l’intendant dans le troisième couloir de droite après la porte de gauche. A l’intérieur, le bâtiment est minuscule et le rez-de-chaussée ne comporte que deux grandes pièce, l’une visiblement dédiée à l’entrainement des troupes, l’autre remplie de lits à deux étages, seuls une poignée de gardes sont présent, vacant à leur entrainement, l’un d’eux indique l’emplacement de l’intendant à Crysania. derrière le dortoir, un petit escalier en colimaçon mène sur deux bureaux et une lourde porte en fer. Un seul homme est présent dans l’un des bureaux et c’est à lui que s’adresse l’humaine. Il lui répond d’une voix stridente et rapide:
- Hum… Du nouveau matériel ? Nous en aurions effectivement besoin, ce fainéant de forgeron n’est pas fichu de nous en donner suffisamment ! Je vous prends le tout pour 20 pièces d’or ? Ce la vous convient ?